JUSTICE

Dépeceur de Mons : les nouvelles techniques ADN au secours du Cold Case

BELGA

Le 22 mars 1997, un chat joue avec une main humaine. Elle provient d'un sac poubelle. On est à Cuesmes, dans la région montoise. Ainsi débute l’affaire du « dépeceur de Mons » à qui l’on attribue cinq crimes commis entre janvier 1996 et juillet 1997. Vingt-quatre ans plus tard, Laurent Schretter, le nouveau président du tribunal de Mons, garde un œil attentif sur le dossier. L’enquête se poursuit et pourrait connaître des rebondissements grâce aux nouvelles techniques ADN. Mais une course contre la montre est engrangée. Il reste six ans pour identifier le prédateur avant que les faits ne soient prescrits (30 ans).

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