SOCIETE

Heurs et malheurs des agents du « contact tracing »

À côté des gestes barrières, des règles d'hygiène, du testing, le dispositif de « contact tracing » vient en appui, depuis l'été dernier, aux mesures permettant de contenir l'épidémie. Depuis un an, des centaines de personnes ont été appelées à tenir un rôle d'utilité publique au coeur de la crise sanitaire. Certains ont vite lâché prise, d'autres ont tenu un temps. Ils sont encore nombreux chaque jour derrière leur écran à jouer du téléphone pour rassurer ou prévenir, tel des soldats participant à l'effort de « guerre ». L'épidémie recule doucement, néanmoins, les centres de tracing sont d'ores et déjà prolongés jusqu’en décembre.

Vous voulez lire la suite de cet article ?

Cet article premium
est réservé à nos abonnés.

Vous êtes déjà abonné ?
Connectez-vous

Pas encore abonné ?
Abonnez-vous
à L Post pour promouvoir la pluralité de la presse. L-Post n’est financé par aucun grand groupe et dépend uniquement des lecteurs. Informer avec rigueur et indépendance a un coût.

Soutenez L Post et le journalisme indépendant : BE85 0689 4115 0106