Société

Slut-shaming, culture du viol et revenge porn : Un arsenal juridique insuffisant

Une jeune fille de 14 ans a fait l’objet d’un viol collectif dans un cimetière de Gand à la mi-mai. Elle s’est suicidée après avoir découvert des vidéos de son agression sur les réseaux sociaux. La police a pu retrouver les images et identifier les cinq jeunes. Trois mineurs ont été placés par un juge de la jeunesse. Deux majeurs sont sous mandat d’arrêt. Les préventions de prise et diffusion d’images mettant en danger l’intégrité personnelle ont été retenues par le juge d’instruction. S’y ajoute la circonstance aggravante selon laquelle le viol a conduit à la mort de l’adolescente. Depuis le 1er juillet 2020, le législateur sanctionne la diffusion non consensuelle d’images et d’enregistrements à caractère sexuel. Mais est-ce suffisant ?

Vous voulez lire la suite de cet article ?

Cet article premium
est réservé à nos abonnés.

Vous êtes déjà abonné ?
Connectez-vous

Pas encore abonné ?
Abonnez-vous
à L Post pour promouvoir la pluralité de la presse. L-Post n’est financé par aucun grand groupe et dépend uniquement des lecteurs. Informer avec rigueur et indépendance a un coût.

Soutenez L Post et le journalisme indépendant : BE85 0689 4115 0106