Pour certaines communautés, les femmes sont considérées comme « impures » et « non aptes au mariage » si elles ne subissent pas de mutilations génitales féminines (MGF), plus communément appelées excisions, soit l'ablation totale ou partielle des organes génitaux féminins extérieurs à des fins non thérapeutiques. Les vacances d’été sont particulièrement propices à cette pratique. 3 filles sur 10 de parents issus de pays pratiquant les MGF sont menacées d’être excisées au pays. Mais ce moyen pour les hommes de contrôler la sexualité des femmes n’appartient pas qu’à d’autres continents. Si le sujet demeure tabou, le nombre de filles et de femmes excisées ayant subi ou à risque de subir une mutilation génitale féminine vivant en Belgique a doublé en 5 ans.
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