Société

Affaire Adama Traoré : Les techniques d’immobilisation létales en question

Crédit: Groupe de soutien Justice pour Adama Facebook

Chaque année au mois de juillet, ils défilent en nombre en sa mémoire. A l’été 2016, Adama Traoré perd la vie le jour de son vingt-quatrième anniversaire à la gendarmerie de Persan (Val-d'Oise), après une interpellation alors qu'il tentait de fuir un contrôle policier. Sa mort prend rapidement une ampleur médiatique internationale. Le jeune homme est érigé en symbole de la lutte contre les violences policières. Son décès relance aussi le débat sur l’utilisation du décubitus ventral par les forces de l’ordre comme manœuvre d’immobilisation. Alors que la France utilise ces gestes techniques décriés pour leurs risques de décès par asphyxie, d'autres polices ne sont plus censées y avoir recours. Retour sur un dossier à rebondissement depuis cinq ans. Il rappelle Chovanec en Belgique.

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