Dans le métabolisme cellulaire, l’ARN messager (ARNm) permet la synthèse des protéines durant une phase qui s’appelle la « traduction ». Une équipe internationale de chercheurs, dont plusieurs issus de l’UNamur et de l'ULB, a mis en lumière un mécanisme qui réduit la vitesse de traduction de certains ARN messager ainsi que ses impacts. Ils publient leurs travaux dans la revue « MOLECULAR CELL » de ce mois de janvier. Ils en font même la Une.
En couverture, on y voit, schématisée, une séquence d’ARNm avec les briques traditionnelles ainsi que la brique D sur la coquille d’un escargot.
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