EMPLOI

Erreur de casting : 2 managers belges sur 3 y ont été confrontés ces 12 derniers mois

Recruter les bons talents en tant qu'entreprise est parfois plus facile à dire qu'à faire, selon une étude du spécialiste du recrutement Robert Half. L'enquête montre en effet que les employeurs doivent parfois faire face à un recrutement erroné dans leur recherche de nouveaux collaborateurs : 67% des managers belges ont été confrontés à une telle inadéquation au cours des 12 derniers mois. 76% indiquent que l'impact négatif d’un tel recrutement est même pire qu'il y a 1 an.

L'impact d'un mauvais recrutement ne peut être sous-estimé et, selon trois managers sur quatre, il est plus important aujourd'hui qu'il y a un an. Dans le sillage de la pandémie, de nombreuses équipes sont soumises à une pression accrue, de sorte qu'une telle inadéquation entre le candidat et le poste alourdit la charge de travail de l'équipe existante. De plus, l'ajustement d'un mauvais recrutement risque de demander plus de travail dans un environnement hybride.

« La guerre des talents rend d'autant plus difficile la minimisation de l'impact d'un mauvais recrutement. L'offre de candidats adéquats possédant les compétences et aptitudes requises est limitée, ce qui complique la recherche rapide d'un remplaçant approprié et met les équipes sous pression », explique Joël Poilvache, Director chez Robert Half.

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