DIGITAL

Politique numérique du Fédéral : avant Laurent Hublet, un autre visage connu des « Digital Minds » avait claqué la porte

Ibrahim Ouassari, ors d'un évènement de présentation de la campagne DigitAll de sensibilisation aux risques d'exclusion numérique à Bruxelles. BELGA

Le patron de BeCentral, Laurent Hublet, n’est pas le premier à avoir démissionné des « Digital Minds », le groupe des 22 acteurs provenant de différents mondes (académique, entreprenariat, investissement, etc.) et actifs dans le numérique mis en place par le secrétaire d’Etat, Mathieu Michel (MR). Ibrahim Ouassari, fondateur de Molengeek et administrateur de Proximus dit avoir « malheureusement quitté le groupe en février, me sentant pas aligné avec mes propres convictions pour notre pays ». Il n’avait pas communiqué sur son départ, car il ne voulait pas que son départ « perturbe le travail en cours par les Minds ». Un autre membre du groupe vient de démissionner dans la foulée de Laurent Hublet. Il s’agit de Stephan Salberter, ancien manager de transition de LN24 et managing directeur de l’école de codage, Campus 19. D’autres membres confirment l’analyse qui a poussé Laurent Hublet à quitter les « Digital Minds ». Mais il n'est pas question de charger le secrétaire d’Etat à la digitalisation dont le travail est salué.

J’ai malheureusement quitté le groupe Digital Minds en février, me sentant pas aligné avec mes propres convictions pour notre pays.

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