Le 110ème Tour de France cycliste à peine achevé ce 23 juillet 2023 avec la victoire du Danois Jonas Vingegaard, et déjà la suspicion, voire les accusions de dopage fusaient sur les Champs-Elysées parisiens, théâtre d’arrivée de la 21ème et ultime étape de cette Grande Boucle. Déconseillée par l’Union cycliste internationale (UCI), la cétone est pourtant ingurgitée par des cyclistes. L’ancienne directrice de l’Antenne Médicale de Prévention du Dopage du Languedoc-Roussillon, le docteur Claire Condemine Piron se pose des questions. Et pour elle, ce produit qui permet d’améliorer les performances « bafoue l’éthique sportive »… C’est un produit qu’on peut aisément se procurer sur les réseaux sociaux. Prix du litre de la boisson : environ 2.500 euros.
En ce mois de juillet, ce furent, selon un suiveur « historique » avec 34 Tours de France au compteur, « trois semaines en enfer, à un rythme démoniaque ». Avec deux champions (le Danois Jonas Vingegaard, vainqueur en 2022, et le Slovène Tadej Pogacar, victorieux en 2020 et 2021) et les « autres ». Ce qui fit évoquer à un quotidien parisien « un cyclisme à deux vitesses », et à un autre à poser des « questions pour un champion ». Avec, pour thème central, résumé en un mot, le « dopage », sujet toujours prégnant dans le monde de la « petite reine », vingt-cinq ans après « l’affaire Festina » puis l’ère Lance Armstrong…
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