Cette semaine la commission des libertés civiles du Parlement européen est revenue sur l'importance et la nécessité du meilleur fonctionnement possible de Frontex, l'agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes au service des États membres dans la gestion de leurs frontières. Dans la foulée, la commission, préoccupée par les situations vécues en Grèce, en Lituanie et en Hongrie, a voté l’adoption d’une nouvelle résolution visant à réduire les opérations dans les États membres sujets à des allégations de non-respect des valeurs de l'UE. Les députés européens qui reconnaissent les changements managériaux, appellent les Etats à garantir davantage la transparence et le respect des principes de l’UE. Ils estiment que Frontex pourrait faire davantage pour accroître la capacité de l’UE et de ses membres à mener des opérations de recherche et de sauvetage en investissant dans des équipements plus appropriés. Pour l’heure, le projet de résolution sera soumis à un débat et au vote de l’assemblée plénière au cours d’une prochaine session.
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