De longues rangées de pierres tombales reliées par des allées pavées : la plupart des cimetières belges n'ont pratiquement pas changé ces 100 dernières années. Cette austérité éloigne de plus en plus de gens des cimetières : seul un tiers des Belges s'y rend encore pour honorer des proches décédés et plus de la moitié des Belges préféreraient transformer les lieux de recueillement en oasis de verdure et demander à la ville ou à la municipalité d'intégrer davantage de nature. Un Belge sur cinq pense également que les cimetières devraient être plus accessibles et mieux adaptés aux enfants. C'est ce qui ressort d'une enquête à la demande de DELA auprès de plus de 2 050 Belges.
Les jours qui précèdent la Toussaint sont généralement ceux durant lesquels les familles se rendent au cimetière pour tantôt nettoyer les tombes avant de commémorer leurs proches décédés. Selon une enquête réalisé par DELA en août dernier auprès de 2 050 Belges, il s’avère qu’à peine 36 % des personnes interrogées se rendent encore régulièrement sur la tombe d'un être cher pour lui rendre hommage. Soit, de moins en moins.
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