Selon une première enquête portant sur les pressions subies par les organisations de défense des droits humains en Belgique, et menée par l’Institut fédéral des droits humains (IFDH), plus de la moitié d’entre elles ont déjà subi des intimidations et des agressions. L’Institut fédéral des droits humains lance aujourd'hui une campagne de sensibilisation pour attirer l’attention sur l’importance du travail de ces défenseurs des droits humains, chez nous aussi.
Chaque jour, des milliers de personnes en Belgique s’engagent à défendre les droits des enfants, des personnes porteuses d’un handicap, des LGBTQIA+, des femmes, des personnes qui fuient leur pays, des personnes âgées... Bref, les droits de toutes et tous. Mais le travail indispensable mené par ces défenseurs de nos droits fondamentaux est mis sous pression. C’est ce qui ressort d’une enquête menée par l’IFDH auprès de plus de 150 organisations de défense des droits humains en Belgique.
Une organisation sur sept indique s’autocensurer en réponse à des pressions.
Défendre les droits humains peut être risqué dans de nombreuses régions du monde. Et en Belgique, cela ne va pas toujours de soi, non plus. C’est ce qui ressort de cette enquête.
Près d’une sur sept indique s’autocensurer en réponse à des pressions. Dans la continuité de son étude, l’IFDH distribue aujourd’hui au public des panneaux et affiches de soutien pour souligner que défendre les droits humains est aussi un droit humain.
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