Pfizergate : des éléments troublants qui déforcent la défense de la présidente Ursula von der Leyen
Le dossier des plaintes à l’encontre de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et du PDG de Pfizer, Albert Bourla, révèle des éléments qui interpellent. Outre l’importance du montant des contrats d’achat de vaccins anti-Covid-19 (au moins 44,4 milliards d’euros), les liens entre Heiko von der Leyen, le mari de la cheffe de l’exécutif européen, et le groupe pharmaceutique Pfizer dérangent. En effet, il est, depuis 2020, directeur médical de la biotech américaine Orgenesis, associée à Pfizer pour aider ce dernier à développer le composant ARNmessager de son vaccin anti-Covid-19.
Vous voulez lire la suite de cet article ?
Cet article premium
est réservé à nos abonnés.
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous
Pas encore abonné ? Abonnez-vous à L Post pour promouvoir la pluralité de la presse. L-Post n’est financé par aucun grand groupe et dépend uniquement des lecteurs. Informer avec rigueur et indépendance a un coût.
Soutenez L Post et le journalisme indépendant : BE85 0689 4115 0106