Avec la menace terroriste, le risque « cyber » est l’une des plus sérieuses menaces qui planent au-dessus de Jeux Olympiques de Paris. Certes, avec les cyberattaques, le sang ne coule pas – pas directement du moins – mais elles n’en constituent pas moins un risque majeur. Elles peuvent, d’ailleurs, impacter (et paralyser) les services de secours et aggraver les conséquences d’un accident important ou d’un attentat. A minima, elles peuvent bloquer des systèmes et entraîner des pertes se chiffrant en dizaines ou centaines de millions.
Les spécialistes se rappellent que les Jeux Olympiques (JO) de Tokyo (en 2021) avaient été frappés par 450 millions d’attaques et par 4,4 milliards de menaces d’attaques, soit 800 par seconde.
La France est fortement montée en gamme, ces dernières années, pour faire face à cette forme de criminalité. La cybersécurité dépend directement du Premier ministre, et la lutte contre la cybercriminalité (comme la lutte contre le terrorisme) est coordonnée par le parquet de Paris (section J3 de la 3e Division). Rien qu’en 2024, entre autres pour sécuriser les JO, 60 millions d’euros ont été investis.
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