Le curateur de Pharmasimple réclame 35 millions d’euros au fondateur du vendeur de médicaments en ligne
Plusieurs mois après la faillite de Pharmasimple, la PME wallonne de vente en ligne de produits pharmaceutiques et parapharmaceutiques, le dossier est loin d’être clôturé. Selon nos informations, le curateur de la faillite, Me Pierre E. Cornil réclame aujourd’hui 35 millions d’euros au fondateur de Pharmasimple, Michaël Willems, et son épouse. Il estime qu’ils ont commis des fautes graves ayant contribué à la faillite de la société. Concrètement, il les accuse d’avoir fait prendre en charge par l’entreprise wallonne une série de dépenses ou de frais d’ordre privé ou d’avoir surévalué des immobilisations financières qui ont donné une fausse image de Pharmasimple. Michaël Willems dénonce un harcèlement et entend défendre son honneur. En attendant, la requête du curateur interpelle dans la mesure où l’actionnaire ABO (Alpha Blue Ocean, situé aux îles Caïmans) n'est nulle part mis en cause, alors que son cofondateur, Pierre Vannineuse, était devenu l’administrateur de fait de Pharmasimple et aurait contribué à la prise de décisions qui ont aggravé les difficultés de la PME wallonne.
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C'est ce qui arrive quand vous ne payez pas vos conseillers ....
Je me rappellerai toujours quand il est arrivé avec une nouvelle Lamborgini pour annoncer qu'on devait licencier du monde pour faire des économies et qu'il s'était énervé car l'on avait offert des pizzas aux ouvriers qui ont quand même aidé pour le déménagement malgré qu'on leur avait annoncé, lors d'une autre vague, leur licenciement. Après tout il fallait bien payer le leasing de sa Rolls-Royce Cullinan.
Les faits remontes et je ne suis peut-être pas subjectif, vu qu'il m'a demandé de renoncé à mon préavis pour faire des économies. Mais parait-il qu'il était une personne douée et sympathique par le passé. Les employés, qui le connaissaient depuis longtemps, étaient d'ailleurs triste à son égare à cause de son changement. Mais personne n'aura su à la fin, s'il faisait exprès de mettre des bâtons dans les roues de l'entreprise, s'il était manipulé ou s'il pensait réellement bien faire. Quand on agit bien, on ne reçoit pas de menace de mort.
Pharmasimple n'était pas forcement l'entreprise la plus rentable après la fin du covid, mais l’ambiance y était familiale (avant le retour du patron) et les gens faisaient de leur mieux pour la faire vivre.
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C'est ce qui arrive quand vous ne payez pas vos conseillers ....
Je me rappellerai toujours quand il est arrivé avec une nouvelle Lamborgini pour annoncer qu'on devait licencier du monde pour faire des économies et qu'il s'était énervé car l'on avait offert des pizzas aux ouvriers qui ont quand même aidé pour le déménagement malgré qu'on leur avait annoncé, lors d'une autre vague, leur licenciement. Après tout il fallait bien payer le leasing de sa Rolls-Royce Cullinan.
Les faits remontes et je ne suis peut-être pas subjectif, vu qu'il m'a demandé de renoncé à mon préavis pour faire des économies. Mais parait-il qu'il était une personne douée et sympathique par le passé. Les employés, qui le connaissaient depuis longtemps, étaient d'ailleurs triste à son égare à cause de son changement. Mais personne n'aura su à la fin, s'il faisait exprès de mettre des bâtons dans les roues de l'entreprise, s'il était manipulé ou s'il pensait réellement bien faire. Quand on agit bien, on ne reçoit pas de menace de mort.
Pharmasimple n'était pas forcement l'entreprise la plus rentable après la fin du covid, mais l’ambiance y était familiale (avant le retour du patron) et les gens faisaient de leur mieux pour la faire vivre.