Face à la hausse des infractions impliquant des mineurs, le secteur de l’aide à la jeunesse demande plus de budget
DGDE Solayman Laqdim pictured during as the general delegate for child rights (DGDE) submits his report to the President of the Parliament of the Wallonia-Brussels Federation, Wednesday 22 November 2023, in Brussels. On the occasion of International Children's Rights Day (November 20), DGDE Laqdim will present his annual activity report for 2022-2023. This is the first report from Laqdim, who was appointed General Delegate last January, succeeding De Vos. After the speeches, some 70 students from three schools in the Federation Wallonie-Bruxelles will take part in a presentation in the hemicycle, given by the C(r)ASH project and DGDE teams. BELGA PHOTO JAMES ARTHUR GEKIERE
Les infractions impliquant les jeunes de moins de 18 ans sont en augmentation. En 2023, pas moins de 182 335 dossiers relatifs à la protection de la jeunesse ont été enregistrés par les parquets de la jeunesse, un chiffre en hausse de 11 % par rapport à 2022. Une tendance préoccupante depuis dix ans qui soulève de nombreuses questions quant aux causes et aux réponses apportées par les pouvoirs publics. Délégué général aux droits de l’enfant, Solayman Laqdim expose les raisons qui expliquent (en partie ?) la hausse des faits impliquant les mineurs.
182 335, c’est le chiffre de dossiers relatifs à la protection de la jeunesse recensé auprès des parquets de la jeunesse en 2023. Ils impliquent des enfants et des jeunes de moins de 18 ans. Ces dossiers concernent tant des faits qualifiés d’infractions (FQI) comme les contraventions, les délits (vol) et les crimes, ainsi que des situations de mineur en danger (MD) où sa sécurité est menacée (abus) et/ou son développement peut être compromis (absentéisme scolaire).
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