DGDE Solayman Laqdim pictured during as the general delegate for child rights (DGDE) submits his report to the President of the Parliament of the Wallonia-Brussels Federation, Wednesday 22 November 2023, in Brussels. On the occasion of International Children's Rights Day (November 20), DGDE Laqdim will present his annual activity report for 2022-2023. This is the first report from Laqdim, who was appointed General Delegate last January, succeeding De Vos. After the speeches, some 70 students from three schools in the Federation Wallonie-Bruxelles will take part in a presentation in the hemicycle, given by the C(r)ASH project and DGDE teams. BELGA PHOTO JAMES ARTHUR GEKIERE
Solayman Laqdim, le délégué général aux droits de l’enfant, s’est exprimé sur les réseaux sociaux concernant la situation des enfants à Gaza. Sur Facebook, il a pris la parole ce lundi 26 mai pour demander un cessez-le-feu immédiat. « La situation des enfants à Gaza est une tragédie absolue, sans précédent dans l’histoire récente. Depuis des mois, des milliers d’enfants ont perdu la vie. Ceux qui survivent subissent quotidiennement des violences inouïes, la faim, la maladie, l’exil, la peur. Aucun enfant à Gaza n’est épargné par le deuil, le traumatisme ou la destruction », déclare-t-il, lui qui n’a pas l’habitude de commenter l’actualité internationale. Il ajoute que c’est de la responsabilité collective que les enfants doivent être protégés de ces conflits et non en être victimes. Il s’associe à ses collègues européens du réseau Enoc pour dénoncer le sort imposé aux enfants gazaouis.
Sortie inédite du délégué général aux droits de l’enfant. Ce lundi 26 mai, Solayman Laqdim, a pris la parole quant à la situation des enfants à Gaza : « Si ce n’est pas dans mes habitudes de commenter l’actualité internationale, je prends la parole aujourd’hui avec une immense inquiétude. La situation des enfants à Gaza est une tragédie absolue, sans précédent dans l’histoire récente. Depuis des mois, des milliers d’enfants ont perdu la vie. Ceux qui survivent subissent quotidiennement des violences inouïes, la faim, la maladie, l’exil, la peur. Aucun enfant à Gaza n’est épargné par le deuil, le traumatisme ou la destruction », écrit-il.
Si ce n’est pas dans mes habitudes de commenter l’actualité internationale, je prends la parole aujourd’hui avec une immense inquiétude.
Avec ses homologues européens du réseau Enoc (European Network of Ombudsmans for Children), il tire la sonnette d’alarme et rappelle aux institutions internationales que les droits fondamentaux des enfants ne sont plus respectés à Gaza. « Le droit à la vie, à la sécurité, à l’accès à la nourriture, à l’eau potable, aux soins de santé, à l’éducation, au logement : aucun de ces droits n’est aujourd’hui respecté », commente Solayman Ladqdim sur ses réseaux.
Une situation causée par des choix politiques
Le délégué général aux droits de l’enfant fait le bilan de la situation des enfants palestiniens : « Plus d’un million d’enfants sont déplacés. Des dizaines de milliers sont blessés, portés disparus, orphelins ou séparés de leurs familles. Beaucoup meurent aujourd’hui de faim et de soif, dans un territoire où l’aide humanitaire est bloquée ou rendue impossible ».
J’en appelle à un cessez-le-feu immédiat, à un accès libre et sécurisé à l’aide humanitaire, à la libération inconditionnelle de tous les enfants détenus ou retenus en otage.
Pour lui, cette situation est le résultat de choix politiques, de violations répétées du droit international humanitaire et de l’indifférence croissante face à l’inhumain. Dans son message, il en appelle également à un cessez-le-feu immédiat : « J’en appelle à un cessez-le-feu immédiat, à un accès libre et sécurisé à l’aide humanitaire, à la libération inconditionnelle de tous les enfants détenus ou retenus en otage, et à une mobilisation urgente pour garantir la protection, la dignité et les droits fondamentaux de chaque enfant dans la région. »
Prendre ses responsabilités et agir
Sur ses réseaux, il conclut en disant que c’est aux adultes d’agir pour protéger les enfants des conflits : « Les enfants ne doivent jamais être les victimes d’un conflit. Ils doivent être protégés. Il est de notre responsabilité collective, en tant qu’adultes, en tant qu’institutions, en tant qu’humanité, d’agir. Maintenant. »
Méderic Guisse (st)
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