L’Association francophone de tennis (AFT) réclame à la jeune Association francophone de padel (AFPadel) un montant de 30.000 euros conformément à une convention qui régissait les relations entre les deux partenaires. Elle lui réclame aussi le même montant pour des dommages devant le tribunal de l’entreprise de Liège, district de Namur. Par ailleurs, elle a déposé une plainte au pénal contre X pour usurpation d’identité sur Facebook et diffamation. Même si la plainte est dirigée contre X, il semblerait que ce soit le président de l’AFP, François André, qui soit dans le collimateur. Or, il disposerait des preuves qui le disculpent de toute accusation. En retour, l’AFP proteste et réclame en retour 310.000 euros à l’AFT dont 160.000 euros de dommages et intérêts. En attendant le dénouement des procédures judiciaires, l’assemblée générale de l’AFP vient d’autoriser les dirigeants à introduire un dossier de reconnaissance auprès des autorités de la Fédération Wallonie-Bruxelles, ce qui leur ouvrira la voie à des subsides.
Plus rien ne va entre l’Association francophone de tennis (AFT) et sa jeune consœur, du padel (AFPadel). Les deux anciennes partenaires règlent désormais leur différend par avocats interposés, alors qu’elles oeuvrent toutes les deux pour la promotion d’une discipline impliquant une raquette et des balles similaires. Mais selon nos informations, malgré un premier set qui s’est soldé par une victoire de l’AFPadel qui a pu organiser son Assemblée générale extraordinaire, laquelle a débouché sur une modification de ses statuts le 31 mars dernier, la bataille judiciaire continue entre les deux associations.
Des sources proches du dossier nous ont confirmé que l’AFT attaque désormais l’AFPadel devant le tribunal de l’entreprise de Liège, district de Namur et lui réclame un montant de 30.000 euros pour non-respect d’engagements consignés dans une convention les liant depuis 2015. Par ailleurs, les dirigeants de l’Association francophone de tennis exigent dommages et intérêts évalués aussi à 30.000 euros pour mauvaise publicité ayant terni son image. L’AFT voudrait juste le respect de ses droits en demandant à l’AFPadel de lui payer son dû en vertu de la convention à l’époque où elle était encore d’application. Ses dirigeants ont également déposé une plainte au pénal contre X pour usurpation d’identité sur Facebook et d’identité. En effet, la plainte au pénal est liée à un faux compte FB de l’AFT avec des publications dénigrantes. Même si la plainte au pénal est dirigée contre X, il semble que ce soit le président de l’AFPadel, François André, qui se retrouve aujourd’hui dans le collimateur de la justice. Mais celui-ci disposerait de toutes les preuves qui le disculpent de toute accusation.
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