Mardi prochain, 25 novembre,  dans le cadre de la grève nationale pour la défense des services publics, le mouvement inter-universitaire « Université en colère/Hoger onderwijs in opstand » organisera des chaînes humaines, des prises de paroles et des actions symboliques sur les campus de l’UAntwerp, de l’UCLouvain, de...

PAYS DE HERVE. Ce jeudi, 22 écoles étaient représentées à la Foire régionale des Entreprises Virtuelles, qui se tenait à l’IPES Spécialisé de Micheroux. Ce rendez-vous constituait un aboutissement pour les 400 participants, élèves et encadrants venus de toute la Wallonie, émanant de tous les réseaux d’enseignement ; ils ont pu disposer d’une occasion unique de présenter leur Entreprise Virtuelle en simulant un véritable environnement de commerce. Achats, bons de commande, facturation, …dans une entreprise virtuelle (EVi), tout se passe comme dans la réalité. On trouve plus de 300 EVi en Belgique et 7000 dans le monde. La Foire régionale des Entreprises Virtuelles offre la possibilité aux jeunes de se lancer dans le grand bain, sans complexe. Cette année encore, la Foire régionale des Entreprises Virtuelles, organisée à l’IPES Spécialisé de Micheroux, près de Herve, a donné l’opportunité à 22 entreprises virtuelles de présenter leur travail et d’échanger avec leurs homologues d’autres écoles. Durant cette journée, les élèves du secondaires, tout réseaux confondus ont du et ont pu développer un produit, dénicher des fournisseurs et des clients, et échanger avec les autres entreprises virtuelles. Cette démarche leur a permis de se préparer au monde du travail et de l’entrepreneuriat en gérant une société fictive.

En 2025, l’Europe célèbre les 40 ans de l’accord de Schengen, le fondement de la libre circulation sans frontières que nous connaissons aujourd’hui. A cette occasion,  La Commission européenne renouvelle son initiative DiscoverEU et offre, cette année encore, la possibilité à des milliers de jeunes...

De nouvelles recherches menées en France par Amnesty International montrent que le fil « Pour toi » de TikTok pousse les enfants et les jeunes qui manifestent un intérêt pour la santé mentale dans un cercle vicieux de contenus dépressifs ou valorisant l’automutilation et le suicide. Le récent rapport de l’organisation, intitulé Entraînés dans le « rabbit hole ». De nouvelles preuves montrent les risques de TikTok pour la santé mentale des enfants, souligne l’incapacité persistante et l'indifférence de TikTok à remédier aux risques systémiques que la conception de sa plateforme fait courir aux enfants et aux jeunes. En 2023, il y a deux ans déjà, Amnesty International publiait deux autres rapports sur le sujet qui témoignaient (déjà) des préjudices subis par les enfants et les jeunes utilisant TikTok : « Poussés vers les ténèbres » ou comment le fil « Pour toi » de TikTok encourage l’automutilation et les idées suicidaires et « Je me sens vulnérable ». Pris au piège de la surveillance intrinsèque à TikTok.

Attention à la contagion des prises de risque

« Nos recherches techniques révèlent à quelle vitesse les adolescents qui manifestent un intérêt pour des contenus liés à la santé mentale peuvent être attirés dans une spirale toxique (ou « rabbit hole »).  En trois à quatre heures à peine de navigation sur le fil « Pour toi » de TikTok, les faux comptes d’adolescents créés pour nos recherches ont été exposés à des vidéos qui idéalisaient le suicide ou montraient des jeunes exprimant leur intention de mettre fin à leurs jours, avec des informations sur les méthodes de suicide », explique Lisa Dittmer, chercheuse sur les droits numériques des enfants et des jeunes à Amnesty International. Le fil « Pour toi » de TikTok est un flux personnalisé de courtes vidéos recommandées par la plateforme en fonction de l’historique de visionnage.  « Les témoignages de jeunes et de parents endeuillés recueillis en France révèlent comment TikTok a normalisé et exacerbé le penchant des jeunes en question pour l’automutilation ainsi que leurs idées suicidaires, au point de leur recommander des méthodes de suicide et des défis en ce sens », poursuit-elle.
L’indifférence de TikTok à l’égard des préjudices systémiques liés à son modèle fondé sur l’engagement soulève de graves inquiétudes.

BRUXELLES. Cette semaine, la commission de l’emploi du Parlement européen s’est penchée sur le sort des travailleurs stagiaires. Les députés souhaitent qu’à l’avenir, les contrats de stage comportent des dispositions claires en matière de rémunération, de durée et de protection sociale afin de prévenir les abus. Ce mardi, la commission de l’emploi et des affaires sociales a proposé des modifications aux nouvelles règles européennes sur les stages par 42 voix pour, 9 voix contre et 6 abstentions. Ces règles permettront de garantir de bonnes conditions de travail aux stagiaires et à dissuader les entreprises de maquiller des emplois réguliers en stages.
Cette directive constitue notre réponse aux appels lancés par les jeunes lors de la Conférence sur l’avenir de l’Europe.
La proposition de la Commission européenne relative à la directive sur les stages ne date pas d’hier. Elle répond à une demande du Parlement en 2023 proposant une directive fixant des normes minimales de qualité, des règles sur la durée des stages, ainsi que sur la rémunération et l’accès à la protection sociale, conformément à la législation et aux pratiques nationales.

Pas de contrat, pas de stage

Ainsi, mardi, les députés ont tenu à établir une définition claire de ce qui constitue un stage, soulignant qu’il doit respecter une durée limitée et constituer un travail facilitant le passage des études à l’emploi. Ils souhaitent également que tous les stages soient concernés par les nouvelles règles, à l’exception des stages obligatoires qui font partie d’études pour obtenir des crédits et des apprentissages. « Aujourd’hui, le Parlement envoie un message clair aux jeunes de toute l’Europe: leur travail est important, leurs droits doivent être défendus », a précisé à la sortie, la rapporteure de la commission, la députée espagnole Alicia Homs Ginel (S&D).

Son nom est Dreamy. C’est la nouvelle mascotte de DreamLand, la plus grande chaîne de magasins de jouets du Benelux qui présentait, hier, aussi son tout nouveau logo, à ses nombreux fans. Le fait que ToyChamp poursuive désormais ses activités sous le nom de DreamLand a donné naissance à une expérience inédite et unique, qui ne demande qu’à être découverte par les enfants et les familles. Dans la foulée, d’ici la fin du mois d’octobre, les 90 magasins DreamLand du Benelux feront peau neuve. ​Une étude interne menée auprès de plus de 10 000 consommateurs en Belgique et aux Pays-Bas le confirme : l’expérience fait toute la différence dans l’univers du jouet et de ce qui fascine les enfants. Une visite dans ce magasin expérientiel est synonyme de plaisir, d’émerveillement et de convivialité.
Chaque année, nous transformons une dizaine de magasins.

MALMEDY. C’est une première en province de Liège, l’Institut Notre-Dame de Malmedy (IND) inaugure une nouvelle section dès cette rentrée 2025, à savoir une nouvelle option en 3ème secondaire générale de transition, orientée «scientifique industrielle : construction et travaux publics ». Cette initiative unique sur...

TRANSINNE.  En province de Luxembourg, l’Euro Space Center vient tout juste d’inaugurer son LUNAR·X, une expérience unique, conçue comme une véritable mission spatiale grandeur nature. Une immersion sensorielle, collective et inoubliable… pour tous ceux qui ont un jour levé les yeux vers le ciel, rêvant de le toucher. Avec l’ouverture de LUNAR-X, depuis le 1er juillet dernier, l’Euro Space Center franchit une nouvelle étape dans son développement, en proposant une expérience inédite mêlant technologie, pédagogie et émotion. Cette nouvelle attraction n’est pas un simple ajout ; elle marque une évolution dans la manière de transmettre, d’émerveiller et de faire participer. En intégrant LUNAR·X à la Journée du Spationaute, le site entend bien renforcer son engagement à faire de chaque visite une aventure complète, immersive et enrichissante. C’est un outil au service de la découverte, du questionnement et, surtout, de l’envie d’aller plus loin. Profitons donc de l’été pour découvrir cette 11ème expérience unique hors du commun. LUNAR·X n’est pas un simple simulateur. C’est une aventure. Une fiction ancrée dans la réalité. Une odyssée partagée où chacun a un rôle à jouer. Un moment suspendu où l’on oublie qu’on est sur Terre… pour mieux rêver d’ailleurs. Bienvenue à bord, la Lune n’attend plus que vous. Prêt ? Tout commence au sein du spaceport, où règne une ambiance spatiale immersive et où résonnent les annonces d’embarquement. Commandant de bord, responsable de la vie à bord, ingénieur en robotique, géologue ou opérateur des infrastructures, à vous de choisir le vôtre, d’enfiler votre combinaison virtuelle et de rejoindre l’équipage.
Offrir à chaque visiteur un rôle, une mission engageante, un souvenir inoubliable.
Pendant cette phase de préparation, un film immersif retrace l’évolution des vols spatiaux, depuis les débuts de la conquête jusqu’aux projets lunaires contemporains. Un rappel visuel et inspirant de tout ce qui a été accompli… et de ce qui reste à explorer. Tout est pensé pour que les visiteurs sentent la tension monter : ils ne sont plus simples spectateurs, mais astronautes en devenir.

Le Spaceport, première étape vers la lune

L’expérience LUNAR·X commence donc ici, dans cette zone immersive conçue comme un centre de préparation avant vol. Dès leur arrivée, les visiteurs plongent dans l’ambiance d’un terminal spatial du futur, rythmé par des annonces en voix off, des effets sonores, et l’agitation d’un équipage en partance. C’est dans cet espace que chacun choisit son rôle au sein de la mission : pilote, médecin, ingénieur de bord, analyste de mission… Des métiers réels du secteur spatial, adaptés au public, pour que chaque visiteur devienne un maillon essentiel de l’équipage. Un enregistrement numérique permet ensuite à chacun de personnaliser sa mission. En quelques clics, les membres de l’équipe sont pris en photo et associés à leur fonction. Une fois réunis, ils forment un équipage unique, prêt à embarquer. L’enregistrement est terminé, direction la capsule, vous êtes maintenant parés au décollage. [media-credit name="Euro Space Center" align="none" width="700"][/media-credit] Mais avant d’atteindre le spaceport, les visiteurs sont invités à traverser un couloir d’introduction, où débute leur immersion dans l’univers de la conquête lunaire. Sur les murs, des silhouettes de fusées découpées dans l’acier inoxydable s’alignent à l’échelle 1/75. Chaque forme correspond à un lanceur emblématique, soigneusement choisi pour illustrer l’évolution des engins spatiaux depuis le milieu du XXᵉ siècle.

AIX-LA-CHAPELLE. C’est cette semaine que le Parlement et la Fondation du Prix international Charlemagne ont décerné le Prix Charlemagne pour la jeunesse européenne 2025, lors d’une cérémonie officielle à Aix-la-Chapelle. Cette récompense est décernée chaque année à des projets, menés par des jeunes, qui promeuvent la démocratie et la citoyenneté active et qui rapprochent les communautés. Et cette année, c’est un média hongrois portant sur l’identité européenne qui s’est classé premier devant un projet tchèque incitant les jeunes à voter et une initiative allemande de soutien juridique aux personnes discriminées. Le Prix Charlemagne pour la jeunesse européenne récompense des projets inspirants menés par des jeunes de toute l’Union européenne, de 16 à 30 ans, engagés dans des projets qui renforcent la démocratie et encouragent la participation active. Il est ouvert aux initiatives de jeunes âgés qui sont Depuis 2008, 6 500 projets ont concouru pour ce prix. Chaque année, des jurys nationaux et européen sélectionnent un projet lauréat dans chacun des États membres de l’Union. Les 27 lauréats nationaux sont invités à la cérémonie de remise des prix à Aix-la-Chapelle. Ainsi, cette année, le premier prix d’une valeur de 7 500 € a été attribué à Forum Europaeum, un groupe de réflexion et média paneuropéen qui promeut l’identité, les valeurs et l’unité européennes à travers des articles, des podcasts, des vidéos sur TikTok et des entretiens. Le projet vise à explorer l’identité européenne et les défis sociétaux, en créant des espaces de débat constructif sur des sujets pertinents pour les jeunes.

« Merci de pouvoir voter », le projet tchèque

Le deuxième prix (5 000 €) a été attribué à l’initiative « Díky, že můžem volit » (Merci de pouvoir voter). Lancé afin de remédier à la faible participation électorale des jeunes en République tchèque, ce projet a ciblé les électeurs âgés de 18 à 29 ans lors des élections européennes de 2024. Le projet visait à lutter contre l’apathie, un sentiment d’inefficacité politique et la fragmentation des initiatives de mobilisation, en s’appuyant sur l’éducation, la coopération et des actions de sensibilisation innovantes.