EVERE. Début de semaine, tout juste un an après leur arrivée dans le peloton professionnel, le coureur professionnel Oliver Naesen a inauguré ce lundi le tout premier Van Rysel Store de Belgique. Ce nouveau magasin de 300 m², dédié à l’univers du cyclisme, propose l’intégralité de la gamme Van Rysel avec des conseils d’experts, un service personnalisé et un atelier intégré, comprenant un service de bike fitting. En quelques années à peine, Van Rysel s’est imposé comme un acteur clé du cyclisme au plus haut niveau. Les vélos sont conçus et assemblés à Lille (France) et testés de manière intensive par des équipes professionnelles telles que Decathlon - AG2R La Mondiale et Van Rysel - Roubaix Lille Métropole. Lancé en Belgique, en 2019, au salon Velofollies, Van Rysel (littéralement « de Lille ») est une marque de cyclisme sur route du groupe Décathlon, née à quelques kilomètres des secteurs pavés les plus emblématiques, notamment ceux de la course d’un jour la plus légendaire du monde. Elle s’adresse aux cyclistes du monde entier, quel que soit leur niveau, leur objectif ou leur vision du cyclisme.
En 2023, 69 % des vélos ont été achetés dans des magasins spécialisés
Van Rysel nourrit depuis sa création la volonté de faire partie des plus grandes marques du peloton professionnel. Un challenge ambitieux mais clair. La marque vient d’ouvrir à Evere son 4ème magasin mondial, et le premier en Belgique.

L'esprit d'innovation

Pour Oliver Naesen, qui a inauguré hier la première boutique belge, le matériel mis à sa disposition – qu’il peut lui-même contribuer à développer – a été l’une des raisons principales de prolonger son contrat avec l’équipe pour trois années supplémentaires. En 2024, l’équipe Decathlon–AG2R La Mondiale a signé pas moins de 30 victoires, soit la saison la plus réussie de son histoire. Et déjà sept victoires sont venues s’ajouter en 2025.

SERAING. Ce 25 avril, la Haute École de la Province de Liège (HEPL) organisait, pour la toute première fois en Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB), une session de certification Pix, reconnue à l’échelle européenne. Cette initiative est portée par la cellule RRF, dans le cadre du projet Tomorrow Campus, financé par le plan de relance européen. Outil en ligne mis à disposition par la FWB, Pix permet à chacun d’évaluer, de développer et de certifier ses compétences numériques. Si la plateforme est accessible à tout citoyen, la certification, elle, est destinée principalement aux étudiants de l’enseignement supérieur et aux participants de formations continues. Elle repose sur un cadre de référence européen, garantissant la reconnaissance des compétences acquises dans de nombreux contextes professionnels et académiques. C’était une première en Fédération Wallonie-Bruxelles. À travers ce projet, la HEPL renforce sa stratégie numérique en proposant à ses enseignants et ses étudiants des outils pédagogiques modernes pour développer et certifier leurs compétences numériques, en lien direct avec leur futur métier.

BRUXELLES.  Parfois, les meilleures idées naissent à table. Et celle du Musée de la Frite n’échappe pas à la règle ! En 2007, attablé à la terrasse d’un bistro à Bruges, Eddy Van Belle déguste un steak-frites en discutant avec des amis. Déjà à l’origine de Choco Story (le musée bruxellois du chocolat) et de Lumina (musée de la lampe), il réfléchit à de nouveaux concepts muséaux. Et pourquoi pas un musée consacré à la frite ? L’idée germe, et quelques années plus tard, le premier Musée de la Frite ouvre ses portes dans un bâtiment du 14ème siècle du coeur de Bruges. Depuis hier, l'expérience est doublée et un nouvel espace muséal vient d'ouvrir ses portes à 200 mètres de la Grand'Place de Bruxelles. L'occasion de ces congés scolaires tombe à pic pour filer le visiter...pour le plaisir!  Avec 1.645 objets exposés, le musée retrace l’histoire fascinante de la pomme de terre et de la frite, de ses origines mystérieuses à son statut de star du street food. Parmi les pièces les plus remarquables : des huacas précolombiennes, témoignant de la place ancienne de la pomme de terre dans les civilisations d’Amérique du Sud ; une édition originale du livre de Clusius, botaniste du XVIe siècle et plusieurs friteuses d’époque, témoins de l’évolution des techniques de cuisson à travers le temps.   Depuis, le concept des musées du chocolat Choco-Story s’est exporté dans plusieurs villes d’Europe et jusqu’au Mexique. En 2019, Choco Story Bruxelles déménage rue de l’Étuve, en plein cœur de la capitale. Lorsque le bâtiment voisin est mis en vente, une évidence s’impose : Bruxelles mérite aussi son musée de la frite ! Ainsi, deux joyaux de la gastronomie belge, le chocolat et la frite, ont désormais leurs musées l'un en face de l'autre, rue de l’Étuve, à deux pas de la Grand'Place!

Expérience immersive et gourmande

L’expérience est résolument interactive. Grâce à un audioguide disponible en 11 langues, des films, des écrans tactiles et pas moins de 11 jeux interactifs, petits et grands apprendront en s’amusant. Les amateurs d’Instagram pourront aussi profiter de plusieurs spots selfies pour immortaliser leur visite : dans une friterie, en pleine récolte de pommes de terre ou encore devant un cornet de frites XXL.
Le musée lève le voile sur ce qui différencie les frites belges de leurs cousines françaises.
Plus qu’un simple musée, cet espace immersif propose un voyage à travers l’histoire, la culture et les traditions de ce mets emblématique de la Belgique. Vous y découvrirez non seulement l'histoire de la pomme de terre mais aussi l'évolution de la frite au fil du temps, ainsi que les secrets de sa cuisson parfaite.

BRUXELLES. On vous en parlait début de semaine, c’est mercredi qu’avait lieu la grande finale du concours d’éloquence « Une voix pour nos droits », ouvert à tous les établissements scolaires du secondaire en Wallonie et à Bruxelles disposant d’un groupe-école Amnesty.  Un concours organisé par la Fédération d’éloquence belge (Felobel) et la section belge francophone d’Amnesty International (AIBF). À l’issue d’une première étape de sélection, treize élèves de treize écoles avaient atteint la demi-finale organisée le 19 mars dernier, huit d’entre eux participaient à cette finale. Et ce sont deux élèves du secondaire ont été récompensées Gaëlle Rafhay, élève à l’Institut Sainte-Thérèse d’Avila à Chênée (Liège) s’est vu décerner le Prix du jury et Kiara Bardakou, scolarisée au lycée français Jean Monnet à Uccle, a quant à elle remporté le Prix du public. « Une voix pour nos droits » est un concours de prise de parole sur les droits humains. Cette année, les membres du jury ont choisi de récompenser la prestation de Gaëlle Rafhay, mettant en évidence la qualité et l’originalité de son argumentaire, ainsi que son éloquence assurée et fluide. Le jury a également félicité les autres finalistes, qui ont fait preuve d’originalité, en faisant appel notamment à leurs histoires personnelles. La qualité des analyses, tout comme la capacité des finalistes à s’exprimer en public sur des thèmes complexes n’ont pas non plus manqué d’impressionner les membres du jury.

5 minutes pour convaincre, toucher et l'emporter

Les jeunes finalistes se sont produits à tour de rôle devant un jury composé de Wilson Fache, reporter de guerre et récipiendaire du Prix Albert Londres 2023 ; Françoise Tulkens, ancienne juge à la Cour européenne des droits de l’homme ; Nael Giannini, président de Felobel ; Sara Zaanani, avocate ; Pierre-Yves Rosset, directeur du Services droits des jeunes et formateur en art oratoire ; Ben Kamuntu, slameur. Le jury était présidé par Carine Thibaut, directrice de la section belge francophone d’Amnesty International.
Chaque finaliste a mis une part de soi dans son discours et c’est profondément inspirant.
« C’est très important pour Amnesty International de soutenir ce genre d’initiative. Aujourd’hui, plusieurs jeunes ont pris la parole pour transmettre un message personnel, réfléchi, construit, qui leur appartient. Ils et elles ont choisi des mots, une mise en scène, une personne à qui s’adresser et, surtout, un combat à porter, lié aux droits humains. Dans un monde où ces droits sont constamment remis en question, leur voix résonne d’autant plus fort », a encore précisé Carine Thibaut. « Ce qu’ils et elles ont fait ce soir, c’est rappeler que chaque mot compte. Une parole peut blesser, mais elle peut aussi éclairer, faire réfléchir et faire avancer. Chaque finaliste a mis une part de soi dans son discours et c’est profondément inspirant. Ce concours d’éloquence, ce n’est pas seulement un prix à remporter, c’est aussi l’éclosion d’une parole et une réflexion qui les accompagnera notamment pour défendre les droits humains. » Libres d’adopter le style oratoire qui leur plaisait, les huit finalistes ont disposé respectivement de 4 à 5 minutes 30 pour adresser un message oral sous la forme d’une tribune ouverte destinée à une personnalité, soit une figure engagée dans la défense des droits humains, soit une personne impliquée dans des violations graves des droits humains.
la question des droits humains, et en particulier celle de la migration, fait partie de mon vécu.

BRUXELLES. C’est ce mercredi 16 avril, à l’UCL Saint-Louis de Bruxelles que huit élèves issus de plusieurs écoles secondaires de Bruxelles et de Wallonie participeront à la finale de la troisième édition du concours d'éloquence « Une voix pour nos droits », une battle de prise de parole organisé par la Fédération d’éloquence belge (Felobel) et la section belge francophone d’Amnesty International. Une occasion rêvée pour ces jeunes de donner de la voix, la leur, en argumentant sur le thème de la défense des droits humains. Pour ce faire, chacun d'entre eux disposera de 4-5 minutes à peine pour convaincre et émouvoir. Semaine de finale pour la 3ème édition du concours « Une voix pour nos droits ». Mercredi, les jeunes finalistes se produiront à tour de rôle devant un jury composé de Wilson Fache, reporter de guerre et récipiendaire du Prix Albert Londres 2023 ; Françoise Tulkens, ancienne juge à la Cour européenne des droits de l’homme ; Nael Giannini, président de Felobel ; Sara Zaanani, avocate ; Pierre-Yves Rosset, directeur du Services droits des jeunes et formateur en art oratoire ; Ben Kamuntu, slameur. Le jury sera présidé par Carine Thibaut, directrice générale d’Amnesty International Belgique francophone. L’objectif premier est d’offrir aux élèves bruxellois et wallons, l’opportunité de défendre publiquement les droits humains grâce à la puissance des mots et de l’éloquence. À travers leur prise de parole, les jeunes expriment leur point de vue et affûtent leur capacité à argumenter Les droits humains à l’honneur Au départ de tables rondes organisées dès 2020, Felobel, la Fédération belge d’éloquence, prend réellement vie un an plus tard.  Née à l’initiative de passionnés de la prise de parole, Felobel a  pour objectif de rendre l’éloquence et la rhétorique accessibles à tous à travers des ateliers, formations et des évènements.  Mais aussi de cultiver la démocratisation de celle-ci en développant une citoyenneté active et participative.
Les droits humains sont primordiaux et nous avons tous et toutes le droit à notre dignité et notre liberté.

BRUXELLES. Ce 4 avril, lors du Fake News Seminar Brussels au Campus Santé de la VUB à Jette, les chercheurs de la VUB Iris Steenhout, Ronald Buyl et Maaike Fobelets lanceront l’application gratuite pour les jeunes baptisée InfoReady. Dans un monde où la jeunesse reçoit de plus en plus d’informations via les réseaux sociaux, là où les algorithmes façonnent leur vision du monde, il apparait important d'apporter quelques clés. Sur les réseaux, tout ce qui attire les jeunes ou les choque, est amplifié et souvent sans s’en rendre compte, ils peuvent se retrouver dans des mondes en ligne où circulent des idées haineuses. La nouvelle « Ap » InfoReady a pour but d’aider les jeunes à réfléchir par rapport à ce qu’ils voient et lisent en ligne et leur offrira les outils pour démystifier les informations trompeuses. Ce séminaire est ouvert à tous. L’impact des médias sociaux sur les jeunes est une priorité sociale. La série populaire de Netflix Adolescence montre de manière saisissante comment un garçon de 13 ans, malgré des parents aimants, se retrouve dans une communauté masculine toxique en ligne. La série reflète l’inquiétude croissante des parents, des enseignants et des animateurs de jeunesse face à l’attirance des jeunes vers des personnalités en ligne qui propagent la haine et la polarisation.

InfoReady offre aux jeunes un pied dans le monde numérique

Les signaux provenant du secteur de l’éducation confirment également cette tendance. Les jeunes adoptent de plus en plus de déclarations extrémistes ou sexistes, souvent sans en comprendre le contexte ou l’impact plus large. Non pas par malveillance, mais parce que les algorithmes les orientent vers la confirmation de sentiments existants. Dans une phase où les jeunes sont en quête d’identité, le risque de pensée et d’influence en noir et blanc est particulièrement élevé.
Nous montrons comment fonctionne la désinformation et comment la reconnaître.
Pour rendre les jeunes plus résilients, la chercheuse de la VUB Iris Steenhout a développé l’ application InfoReady en collaboration avec des partenaires européens . L’application offre aux jeunes et aux enseignants un moyen accessible et interactif d’analyser de manière critique les informations en ligne. « InfoReady aide les jeunes à prendre un moment pour réfléchir à ce qu’ils lisent ou voient en ligne », explique le Dr Iris Steenhout, chercheuse à la VUB. « Nous montrons comment fonctionne la désinformation et comment ils peuvent la reconnaître. Cela leur donne plus de contrôle sur leur environnement numérique. Nous ne fournissons pas de réponses toutes faites, mais nous leur fournissons les outils pour réfléchir de manière critique ».

LIEGE. Depuis 2014, le VentureLab accompagne, soutient et propulse les jeunes entrepreneurs ambitieux en leur offrant un cadre unique pour développer leurs projets.  Dix ans plus tard,  avec plus de 1350 jeunes entrepreneurs accompagnés, qui ont lancé plus de 270 entreprises et créé plus de 1000 emplois dans la région liégeoise, l’incubateur liégeois franchit une nouvelle étape en s’installant dans un lieu emblématique de Liège : l’ancienne librairie La Parenthèse. Depuis sa création, le VentureLab a bâti un écosystème unique où chacun et chacune peut transformer son idée en projet et son projet en entreprise. Il a accompagné 1350 entrepreneurs. Fondé par l’Université de Liège et HEC-Liège, le VentureLab est devenu l'incubateur de toutes les institutions de l'enseignement supérieur des provinces Liège-Luxembourg. Il est ouvert à toutes et tous, tous parcours académiques confondus. Les secteurs qui y sont développés sont variés : économie circulaire, mode responsable, technologie, sport, alimentation, services innovants, et bien d’autres. Grâce à un accompagnement sur mesure par des Entrepreneurs aguerris de la région, des conseils stratégiques et un réseau solide, l’ASBL a permis à de nombreux jeunes talents de structurer et de concrétiser leurs ambitions entrepreneuriales.

Dix ans d’impact et une ambition renouvelée

Le VentureLab révèle et active le rôle que peuvent jouer les jeunes entrepreneurs dans la création d’un monde plus serein. Concrètement, nous les aidons à lancer leur activité entrepreneuriale et à développer un projet qui fasse sens pour eux et la société.   [media-credit name="VentureLab" align="none" width="700"][/media-credit] Pour célébrer cette transformation et ses dix ans d’activité, le VentureLab organise le Festival des Métamorphoses Entrepreneuriales le samedi 12 avril, suivi d'événements organisés dans la région du 15 avril au 15 mai 2025.

Du 8 au 13 avril, Adrien, installé dans un fauteuil-ski adapté, gravira un sommet emblématique du Mont Rose, à la frontière de la Vallée d'Aoste et du Piémont, accompagné d’une équipe de quatre duo de frères et seul soudés et solidaires.  Un défi sportif et inclusif porté par l’ASBL SoliCap à travers l’opération Mont Rose solidaire. Cette association œuvre pour un monde où les différences sont une richesse et non un frein.  À travers des projets sportifs,  éducatifs et entrepreneuriaux, l’ASBL accompagne, sensibilise et fédère pour une société plus accessible et équitable. Soutenez ce projet suivez l’expédition d’Adrien et de ses accompagnateurs. Aussi appelée la « montagne glacée », le Mont Rose, situé entre la Suisse et l’Italie, est le second lus haut massif des Alpes après celui du Mont-Blanc. « L’ascension du Mont Rose symbolise un défi ambitieux, illustrant que l’impossible devient possible lorsque nous nous unissons pour une cause commune », explique Emilie  De Gerlache, sœur d’Adrien, engagée dans ce projet solidaire et collectif. SoliCap À travers cette aventure humaine et sportive, le projet vise à changer les mentalités en montrant que « le handicap n’est pas une limitation, mais une opportunité de construire ensemble une société plus optimiste et inclusive. » 

Adrien comme moteur du dépassement de soi mais pas seulement

L’ASBL SoliCap, à travers des projets sportifs,  éducatifs et entrepreneuriaux, accompagne, sensibilise et fédère pour une société plus accessible et équitable. Le projet Mont Rose solidaire incarne l’esprit d’unité, de solidarité et de dépassement de soi.  Cette ascension extraordinaire témoigne de la force collective et de la capacité à repousser, ensemble,  les limites, symbolisant la résilience face aux défis, qu’ils soient physiques ou personnels.
Nous le faisons pour toutes les personnes touchées par le handicap: celles qui le vivent, leurs familles, leurs amis, les aidants, les institutions