COVID-19

Selon une étude américaine, les masques ont augmenté de 50% le nombre de décès


Selon une étude publiée en février 2022 dans la revue médicale américaine Medicine, les masques, dont le port a été rendu obligatoire dans divers pays au nom de la protection contre Covid-19, auraient eu l’effet inverse à celui recherché, contribuant en réalité à l’augmentation du nombre de décès liés au virus. Avons-nous tué des gens à cause du port du masque ? C’est la théorie d’un médecin allemand avec l’effet « Fögen », de son nom, ou l’auto-intoxication d’une forte concentration de matériel viral. Il a mené son étude au Kansas. Pourquoi le Kansas ? Cet État américain a laissé à chacun des comtés qui le composent la liberté de décider de mettre en place ou non le port obligatoire du masque. Sur un total de 105 comtés, 81 ont décidé de s’opposer à cette mesure. Explications.

Le masque a impacté le taux de mortalité de 50%

L’étude qui intitule The Foegen Effect: A Mechanism by Which Facemasks Contribute to the COVID-19 Case Fatality Rate (Link vers: https://journals.lww.com/md-journal/fulltext/2022/02180/the_foegen_effect__a_mechanism_by_which_facemasks.60.aspx) a été produite par le docteur allemand Zacharias Fögen, qui a analysé l’impact du port du masque dans l’Etat américain du Kansas au cours de la période du 1er août au 15 octobre 2020.

La conclusion de son étude est sans appel : « contrairement à l’idée reçue selon laquelle le nombre de morts diminuerait grâce aux masques puisqu’ils permettent de réduire les taux d’infection, les résultats démontrent que ce n’est pas le cas. Le nombre de morts aurait augmenté en raison de l’obligation du port du masque », peut-on lire. « Il aurait même augmenté le nombre de décès de 50% par comparaison avec les comtés qui n’ont pas adopté cette mesure ».

L’utilisation du masque pourrait constituer non pas une protection mais une menace encore inconnue

Les virions en cause

L’étude tente d’apporter une explication à l’augmentation du nombre de décès liés au Covid-19 au sein des comtés qui ont rendu le port du masque obligatoire : « Une raison qui pourrait probablement expliquer l’augmentation du risque relatif suite à l’obligation du port du masque : les virions qui pénètrent dans le tissu du masque, ou ceux qui sont recrachés sous forme de gouttelettes et qui imprègnent le tissu, après évaporation rapide des goutelettes, les gouttelettes hypercondensées ou les virions purs (virions ne se trouvant pas à l’intérieur d’une gouttelette) sont de nouveau respirés depuis une très courte distance lors de l’inspiration ».
Selon cette théorie, baptisée « effet Foegen », les virions du Covid-19 se propagent plus profondément dans les voies respiratoires en raison de leur petite taille. Et de poursuivre : « Ils contournent les bronches et sont inhalés profondément dans les alvéoles, où ils peuvent provoquer une pneumonie au lieu d’une bronchite, ce qui serait typique d’une infection virale ».
En conclusion, l’étude souligne que « ces résultats suggèrent que l’utilisation du masque pourrait constituer non pas une protection mais une menace encore inconnue, ce qui fait de son obligation une mesure épidémiologique discutable ».

Sur fond de polémiques

Les masques n’ont cessé depuis le début de la crise sanitaire d’être au centre de nombreuses controverses et polémiques. On se souvient tout d’abord les stocks stratégiques de masques dévoyés au fil des années pour réaliser des économies budgétaires.
Alors que les professionnels de la santé déploraient à l’unisson le manque de masques, ces derniers sont ensuite devenus au mieux inutile et au pire nocif une fois disponible, ceci sans compter la succession d’études publiées les remettant en cause. De la plus élémentaire sur le manque d’efficacité pour limiter les infections et sur les risques d’auto-contamination accrus en passant par les dommages neurologiques, les troubles de l’apprentissage et du développement chez les enfants jusqu’au risque de décès à cause d’un manque chronique d’oxygène et un excès de CO2.

 

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