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G4S : 75 postes à pourvoir à Brussels Airport d’ici l’été

GS4 Team

Brussels Airport s’attend cet été à un nouveau pic de trafic aérien depuis la fin de la pandémie. Pour faire face à cette affluence et la canaliser, la société de services de sécurité G4S est à la recherche de 75 agents de gardiennage supplémentaires. Un défi de taille, car la profession d’agent de gardiennage est officiellement en pénurie. C’est pourquoi la société de services de sécurité met tout en œuvre pour relever le défi. G4S offre notamment aux nouveaux agents non seulement la formation nécessaire, mais aussi une prime brute de 1 000 euros. Elle espère ainsi attirer également des agents de gardiennage expérimentés à Brussels Airport.

Aujourd’hui, quelque 1 000 agents de gardiennage travaillent à l’aéroport de Zaventem. Ils patrouillent 24/7 dans toute la zone aéroportuaire, prodiguent les premiers soins en cas d’accident et inspectent les bagages, les véhicules, les fournisseurs et les passagers.
Mais c’est au moment du contrôle des bagages à main que les voyageurs les voient le plus. C’est là surtout que G4S cherche à déployer des mains et des yeux supplémentaires cet été. Depuis que la crise du covid s’est éteinte, Brussels Airport a vu le nombre de voyages en avion, et donc le nombre de passagers, augmenter d’année en année, surtout en été. G4S entend donc se préparer.

On assiste actuellement à une véritable guerre des talents pour les bons agents de gardiennage.

« Nous voulons que sur tous les fronts, nos opérations à l’aéroport se déroulent le mieux possible. Mais une augmentation du nombre de passagers implique la nécessité d’augmenter le nombre d’agents de gardiennage pour assurer la fluidité », explique Christophe Tack, Head of Operations – Guarding. « Aujourd’hui, des agents d’autres postes viennent renforcer les effectifs aux heures les plus chargées, mais nous pensons que des agents supplémentaires sont toujours les bienvenus et mobilisables. Nous considérons donc qu’il s’agit d’un investissement dans l’avenir à long terme », poursuit-il.

Gardiennage, pas un « job d’hommes »

G4S souligne également que la profession d’agent de gardiennage n’est pas une « profession masculine ». En effet, la société de services de gardiennage espère que 65 % des nouveaux candidats seront des femmes. Après tout, les passagères ne peuvent être contrôlées que par une personne du même sexe. G4S estime par ailleurs que la diversité est nécessaire au bon fonctionnement d’une équipe de gardiennage.

« Nous devons nous défaire de l’image stéréotypée selon laquelle un agent de gardiennage est un homme costaud qui a surtout besoin de force physique », poursuit Véronique Polet, HR Director a.i. G4S. « Les compétences non techniques et la capacité à résoudre les problèmes sont également des aptitudes qui apportent une grande valeur ajoutée. Les agents de gardiennage travaillent en équipe, chacun complétant l’autre par ses talents. Tout le monde peut donc devenir agent de gardiennage. »

​​Une sélection rigoureuse et 1 000 euros de prime

La profession d’agent de gardiennage figure depuis des années sur la liste des professions en pénurie. Les candidats font l’objet d’une sélection rigoureuse et doivent suivre une formation approfondie. Les sociétés de services de sécurité telles que G4S fournissent et financent donc toute la formation que les candidats doivent suivre.

Mais pour attirer encore plus l’attention de candidats intéressés et surtout expérimentés, G4S va plus loin encore. En effet, la société offre une prime brute de 1 000 euros aux nouveaux agents qui entrent en service entre le 24 avril et le 1er juin 2024 et qui restent en service pendant au moins six mois. Les agents déjà employés par G4S peuvent également prétendre à cette prime s’ils parviennent à convaincre quelqu’un de les rejoindre.

« On assiste actuellement à une véritable guerre des talents pour les bons agents de gardiennage et presque tous les employeurs offrent les mêmes conditions. Nous devons donc nous différencier de nos concurrents », renchérit Véronique Polet. « Le raisonnement qui sous-tend la prime brute est simple : elle permet de rembourser une partie des prochaines vacances de nos employés. Cela nous a semblé logique : les agents qui passent plusieurs mois à encadrer le départ des passagers vers des destinations variées peuvent ensuite être eux-mêmes passagers et se détendre, grâce à notre aide. »

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