Jean-François Jacques, ancien président de Zetes, a été désigné pour rapprocher les positions entre le management du groupe Hamon et les créanciers obligataires, afin que ces derniers acceptent la proposition de reporter de 10 ans l’échéance des obligations. La proposition sur la table est que les obligataires convertissent une partie de leurs créances en actions, mais renoncent aux procédures judiciaires. Ils y réfléchissent. Verdict début juin.
Vous voulez lire la suite de cet article ?
Cet article premium
est réservé à nos abonnés.
Vous êtes déjà abonné ?
Connectez-vous
Pas encore abonné ?
Abonnez-vous
à L Post pour promouvoir la pluralité de la presse. L-Post n’est financé par aucun grand groupe et dépend uniquement des lecteurs. Informer avec rigueur et indépendance a un coût.
Soutenez L Post et le journalisme indépendant : BE85 0689 4115 0106
Le retrait des banques a précipité la chute du groupe Hamon, ancien fleuron de l'industrie wallonne. 