La tension monte dans le rang des cheminots sur les jours de congés de compensation et de repos qu’ils voudraient bien prendre. Mais pressée par l’inspection sociale, la SNCB a décidé de les payer. Cette décision de l’entreprise a renforcé le mécontentement des agents dont la majorité ne veut pas de rémunération des jours de congés. Les syndicats estiment que la situation actuelle est le résultat des économies faite par la direction sur le personnel en n’engageant pas suffisamment d’agents. Ils reprochent aux dirigeants de la SNCB de faire supporter aux cheminots les conséquences de leur mauvaise gestion des jours de congés en n’ayant pas pris le problème à bras le corps à temps.