En cette journée mondiale du vapotage ou « Word Vape Day », la société célèbre l’effort mondial visant à aider l’arrêt de la cigarette par le biais du vapotage. Dampshop souhaite profiter de cette occasion pour éradiquer l’image négative qui entoure le phénomène en appelant le gouvernement à renforcer les contrôles sur la vente aux mineurs et à punir sévèrement les contrevenants. Les ventes sur Internet, qui sont interdites par la loi en Belgique, devraient également faire l'objet d'un contrôle et de sanctions plus sévères. La cigarette électronique est destinée aux fumeurs qui recherchent une alternative moins nocive à la cigarette pour arrêter de fumer. Si vous n'êtes pas fumeur, nous vous déconseillons de commencer à vapoter. Arrêtez d'abord de fumer, puis arrêtez éventuellement de vapoter. La cigarette électronique est un produit destiné aux adultes, sa vente aux -18 ans est interdite par la loi.

Vingt ans, voilà un âge qui se célèbre ! Et pour marquer le coup de ces 20 ans de recherche et de collaborations, les membres du Centre Européen  de l’université de Liège organisaient, ce 26 mai à la Cité Miroir, une journée d’études à laquelle ont participé de nombreux scientifiques et étudiants. Le Centre Européen d’Archéométrie (CEA) étudie le patrimoine culturel, mobilier et immobilier, ses matériaux et leurs mises en œuvre en associant les données historiques et archéologiques aux résultats d’analyses scientifiques. Entre les sites de fouilles, les tableaux de Magritte ou l’analyse d’objets archéologiques, le centre de l’ULiège collabore avec historiens de l’art, archéologues et scientifiques issus de laboratoires internationaux prestigieux. En outre, l’ULiège est la seule université belge à proposer un master en archéométrie. Discipline née dans le sillage de l’archéologie, l’archéométrie permet aujourd’hui de révéler de nouvelles informations sur les techniques utilisées par un artiste pour la réalisation de son œuvre. L’unité de recherches interfacultaire AAP (Art, Archéologie et Patrimoine) et le Centre Européen d’Archéométrie - hébergé au sein de l’Université de Liège - se positionnent plus que jamais comme les acteurs d’une approche scientifique des œuvres grâce au développement de nombreuses techniques mobiles et non-invasives innovantes.

CROISETTE. Le Festival a baissé le rideau hier soir non sans célébrer la réalisatrice française Justine Triet pour son « Anatomie d’une chute » à qui fut remise la Palme d’Or. Discrètement, un Belge a tout de même tiré son épingle du jeu, c’est le cas de l’artiste Baloji, qui s’est vu remettre dans la compétition d’Un Certain regard, le Prix de la nouvelle voix  pour « Augure ». Chapeau à lui.

LIEGE. A l’occasion du lancement des travaux de réaménagement en zone bimodale (reliée à la route et au rail) du site de l’ancienne gare de triage du Port de Monsin, Infrabel, le gestionnaire du réseau ferroviaire belge, et le Port autonome de Liège ont organisé une matinée dédiée à la multimodalité en région liégeoise en présence des divers représentants du Gouvernement fédéral, du Gouvernement wallon, des autorités portuaires liégeoises et ferroviaires ainsi que plusieurs concessionnaires portuaires liégeois. Pour la période 2022-2024, le Gouvernement fédéral a libéré des moyens supplémentaires au profit des clients d’Infrabel. Grâce à ces fonds, issus des Plans de relance belge, Infrabel investit sur cette période quelque 45,6 millions € dans le transport par rail de marchandises en Wallonie. En région liégeoise, plus de 6 millions € ont été consentis ces derniers mois à divers travaux de modernisation de l’infrastructure ferroviaire: - la rénovation du pont sur la Meuse donnant accès à l’île Monsin afin d’assurer sa pérennité, - la remise en état du faisceau de Monsin, - le rétablissement de l’accès à la plate-forme multimodale Liège Trilogiport, - les travaux de renouvellement dans le port de Renory, - ou encore la construction de 4 nouvelles voies destinées aux trains de marchandises à Kinkempois. Ces dernières sont en cours d’électrification.

CROISETTE. Après l’hommage rendu lors de la cérémonie d’ouverture à Michael Douglas auquel on a remis une Palme d’or d’honneur, ce soir, c’est Harrison Ford, bientôt 81 ans, qui foulera le tapis rouge pour la projection, hors compétition, du 5ème volet des aventures de son personnage fétiche, Indiana Jones et le Cadran de la destinée. Ce moment est d’ores et déjà annoncé comme l’un des temps forts de cette 76ème édition du Festival de Cannes. Que serait le Festival international du film de Cannes sans ses stars hollywoodiennes ? Après l’ovation offerte à Michael Douglas, mardi soir, à l’occasion de la remise d’une Palme d’Or saluant sa carrière et son engagement pour le cinéma. La montée des Marches de ce soir sera marquée par le retour du toujours charmant Harrison Indiana Ford.

BRUXELLES. Unique en Belgique, Catch-Art expérience est un nouveau service d’aide à acquérir une œuvre d’art. L’équipe d’experts de Catch-Art accompagne, de A à Z, tous les amateurs d’art à trouver l’œuvre qui embellira au mieux leur intérieur, en fonction de leurs goûts et leur budget. Un service d’un nouveau genre, qui n’existait pas encore en Belgique et qui va ravir les amateurs d’art (non-collectionneur), les expatriés, et les non-initiés. L'occasion aussi de découvrir et rencontrer des artistes pas toujours forcément reconnus de tous.

BRUXELLES. Pour la cinquième année consécutive, l’Université libre de Bruxelles (ULB) et la Vrije Universiteit Brussel (VUB) participent à la Belgian and European Pride le 20 mai à Bruxelles. En tant qu’universités urbaines engagées, l’ULB et la VUB participent à cet événement pour défendre la liberté et la diversité des genres, lutter contre les stéréotypes et briser les tabous qui pèsent sur les communautés LGBTQIA+. En effet, bien que les deux institutions aient toujours été actives dans la défense de l'égalité des droits pour les personnes LGBT, même bien avant que les lois ne le permettent, la bataille n'est pas encore terminée. Unies par leur slogan « Open-Minded Universities », l’ULB et la VUB, en tant qu’universités partenaires, s’engagent pour la construction d’une société meilleure, respectueuse de chacun et chacune et plus ouverte d’esprit.

CANNES. La 76ème édition du festival de Cannes débute dans quelques heures et c’est Chiara Mastroianni, fille de Catherine Deneuve et de Marcello Mastroianni qui campera cette année le rôle de maîtresse de cérémonie sur la croisette. Si aucun film belge n’est en compétition officielle pour la Palme d’or,  cinq de nos productions y seront présents dont deux en lice pour la Caméra d’or, prix attribué au meilleur premier film, toutes sections confondues. Enfin, tous les yeux seront une fois encore tournés vers notre Virginie Efira, présente, elle, en compétition officielle de Cannes Première avec « L’amour et les forêts » de Valérie Donzelli mais aussi pour son rôle dans la coproduction franco-belge « Rien à perdre » de Delphine Deloget. Le festival, qui se tiendra jusqu'au 27 mai, s’ouvre tout à l’heure avec une coproduction des Frères Dardenne, « Jeanne du Barry », signée Maïwenn.  Bon, Cannes, c’est parti pour une sacrée quinzaine dédiée au 7ème art. Cannes, c’est un tapis, des marches, un palais des festivals, une ambiance unique. Cannes, ce sont des films, des sélections officielles, des trophées octroyés dans divers catégories. Et les Belges n’ont pas rougir de s’y faire remarquer chaque année. Cette année ne devrait pas faire exception. Il n’y a pas de petit prix.

Le Prix Charlemagne pour la jeunesse européenne, décerné conjointement par le Parlement européen et la Fondation internationale du prix Charlemagne, est ouvert aux initiatives de jeunes âgés de 16 à 30 ans qui renforcent la démocratie et soutiennent la participation active. Depuis 2008, 5 000 projets ont concouru pour le Prix. Cette année, une application belge pour les réfugiés, un musée mobile du climat lituanien et une plateforme néerlandaise pour les jeunes journalistes sont les lauréats de l'édition 2023. La Belgique remporte le premier prix avec AILEM, une appli co-fondée en 2021 à l'UWC Atlantic College, au Pays de Galle, par Abobakar Sediq Miakhel, jeune programmeur afghan réfugié vivant actuellement en Belgique, et Xinyao Liu, une jeune entrepreneure hongkongaise.

L’an dernier, les exécutions judiciaires enregistrées dans le monde ont atteint un niveau record depuis 2017. Six pays ont aboli, entièrement ou partiellement, la peine de mort durant l’année. Le nombre d’exécutions enregistrées en 2022 a atteint son plus haut niveau depuis cinq ans, les principaux pays à l’origine de ce record, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, s’étant livrés à une frénésie meurtrière, a déclaré Amnesty International mardi 16 mai à l’occasion de la publication de son rapport annuel sur la peine de mort. Selon Amnesty International, 20 pays ont procédé à des exécutions. Avec 125 États membres de l’ONU – un nombre record – qui demandent un moratoire sur les exécutions, Amnesty International n’a jamais eu autant d’espoir de voir ce châtiment ignoble relégué aux annales de l’histoire. Cependant, les chiffres tragiques de 2022 nous rappellent que nous ne pouvons pas nous reposer sur nos lauriers. Nous continuerons de nous mobiliser jusqu’à ce que la peine de mort soit abolie dans le monde entier. En Arabie saoudite, 81 personnes ont été exécutées en un jour