Acteur incontournable de l’hospitalité en Europe depuis 1948, Logis Hôtels (auparavant nommé Logis de France) n’a cessé de faire avancer l’hôtellerie-restauration en France mais aussi en Belgique et ailleurs sur le continent. Récemment, l’enseigne a opté pour le changement d’identité visuelle en misant sur la modernité de cette marque iconique. La nouvelle image entend incarner une marque en mouvement, au plus proche des hôteliers-restaurateurs traduisant des investissements continus déployés pour rénover les établissements et soutenir leur transformation, développer de nouveaux services d’accompagnement et structurer le réseau. En Belgique les Logis sont essentiellement concentrés dans les provinces de Liège et Luxembourg, mais il y en a aussi aux portes de Bruxelles et dans le Hainaut. Logis Hôtels, plus qu'une marque, c'est un repère touristique aussi au coeur d'une histoire partagée avec les voyageurs européens depuis 75 ans. Pionnière, dans le paysage hôtelier européen, Logis Hôtels est un repère pour les clients, dont l’attractivité de l’offre repose sur des valeurs fortes : convivialité, cuisine sincère et faite maison, sens du service et générosité. Chaque établissement cultive une atmosphère singulière et accueille les clients « comme à la maison », autour d’une même expérience de marque. Aujourd’hui, fière de ses valeurs, l’enseigne est un modèle pour toute une nouvelle génération d’entrepreneurs prêts à bouger les lignes et continuer à faire progresser le secteur.

Apprendre à vivre ou revivre après la maladie nécessite aussi un accompagnement humain. Chacun le sait : le cancer impacte le quotidien des patients, son entourage et sa vie professionnelle. Dans cette optique, la Fondation de lutte contre le cancer propose depuis un an la formation de Oncocoach, ils sont une dizaine en Belgique.  Dans la même veine, le réseau des maisons de ressourcement francophones lançait ce week-end ONCOCOON, sa nouvelle plateforme commune indépendante car à côté des soins et d’une médecine conventionnelle de plus en plus technique et spécialisée, il demeure important aussi  de développer une approche très humaine, intégrale, du cancer, de ses traitements, et de l’impact de ceux-ci sur la qualité de vie du patient. La nouvelle plateforme accompagnera ainsi le patient, malade ou en rémission ainsi que ses proches. Chaque année en effet, 70 000 cancers sont diagnostiqués en Belgique et quelques milliers de patients seulement ont accès à une maison de ressourcement. Le réseau Oncocoon s’inscrit dans un paysage où opèrent déjà de grandes institutions spécialisées et aussi importantes que la Fondation Contre le Cancer (en Flandre également Kom Op Tegen Kanker) ou encore la Fondation Roi Baudouin. Elles apportent un soutien substantiel au développement des maisons de ressourcement (soutiens financiers, accompagnement, rencontres thématiques...). Elles ont, de diverses manières, contribué à structurer l’initiative présentée aujourd’hui.

Afin de tendre vers une mortalité zéro sur les routes européennes d’ici 2050, les députés européens se sont penchés cette semaine sur l’extension des infractions au-delà du pays où celles-ci seraient commises. Ils proposent notamment que l’interdiction de conduire dans un pays européen puisse être applicable dans l’ensemble de l’UE et ainsi mettre fin à l’impunité des conducteurs non-résidents; ils réclament aussi qu’un plus grand nombre d’infractions soient prises en compte afin de mener à des enquêtes transfrontalières. Cette semaine, la commission des transports et du tourisme du Parlement européen a adopté un projet de nouvelles règles européennes visant à mettre fin à l’impunité des conducteurs non-résidents et à améliorer la sécurité routière. Actuellement, si un conducteur commet une infraction dans un pays autre que celui qui a délivré son permis et perd son permis dans ce dernier, la sanction ne sera valable, la plupart du temps, que dans le pays où l’infraction a été commise. A l’avenir, cette déchéance du permis pourrait aussi être valable dans le reste de l’UE.

Mortalité zéro sur nos routes d’ici 2050

Ces deux propositions font partie du paquet législatif sur la sécurité routière présenté par la Commission en mars 2023 afin d’améliorer la sécurité de tous les usagers de la route, de faciliter l’application transfrontière des règles de circulation et de moderniser les règles relatives au permis de conduire. L’objectif final est de se rapprocher le plus possible de la mortalité zéro sur les routes de l’UE d’ici 2050 (Vision zéro).
Près de 40 % des infractions transfrontalières restent impunies.

BRUXELLES. Ce dimanche, la gare du nord de Bruxelles servira de décor au départ de la nouvelle Marche pour la Climat. Et parce que l’enjeu climatique est au cœur des préoccupations de nombreux jeunes, à la veille de  la grande Marche Climat, ils ont tenu à adresser un message fort au monde politique et à l’ensemble de la population.  En effet, ils étaient des milliers, ce 1er décembre, dans l’ensemble du pays, à se sont levés pour rappeler que, dans la lutte pour le climat, chaque dixième de degré compte. A suivre, #StandUpForClimate.  Un an après le succès de sa première édition, le « StandUpForClimate » poursuit sur sa lancée. Ce vendredi, des milliers de jeunes ont fait entendre leur voix aux quatre coins du pays depuis de nombreux lieux: écoles, universités, maisons de jeunes ou encore associations de jeunesse. Leur message a été largement partagé sur les réseaux sociaux avec le hashtag #StandUpForClimate.
Chaque 0,1°C en moins = Un dixième de degré qui compte! [media-credit name="#StandUpForClimate" align="none" width="570"][/media-credit]
Leur objectif ? Dépasser le sentiment d’impuissance en passant à l’action. En effet, les jeunes souffrent davantage d’éco-anxiété que les autres générations. Selon un sondage mené par le forum des jeunes, 41% des personnes interrogées ressentent de l’éco-anxiété ou de la peur quant à l’avenir de notre planète et 35% y pensent régulièrement.

Hier, Antonio Guterres, le Secrétaire général de l’ONU a lancé son appel passionné lors de l’ouverture de la COP28, aux chefs d’État et de gouvernement présents au cours des deux prochains jours à Expo City, à Dubaï, où se déroule la Conférence sur le climat. Avertissant que « le sort de l’humanité est en jeu », il a déclaré que les dirigeants du monde doivent agir maintenant pour mettre fin à la catastrophe climatique.  Au cours des deux prochains jours, les dirigeants de plus de 160 pays présenteront leur vision pour lutter contre la crise climatique, notamment ceux du Brésil, du Royaume-Uni, de la France, de la Turquie et de l’Inde. Mais alors que plus de 110 pays veulent voir la COP28 adopter l’objectif de tripler les énergies renouvelables et de doubler l’efficacité énergétique d’ici 2030, ce matin, une vingtaine de pays lançait un appel à tripler les capacités de l’énergie nucléaire dans le monde d’ici 2050. De son côté, le Premier ministre indien Narendra Modi invite à trouver un « modèle pour le monde dans l’équilibre trouvé entre écologie et économie ». « C’est une maladie que vous seuls, dirigeants du monde, pouvez guérir », lançait hier Antonio Guterres, Secrétaire général de l’ONU en appelant les dirigeants à mettre fin à la dépendance du monde à l’égard des combustibles fossiles et à tenir la promesse attendue depuis longtemps en faveur de la justice climatique. Jeudi déjà, un premier accord est parvenu sur la mise en œuvre d’un fonds pour les pertes et préjudices visant à aider les pays les plus vulnérables à payer pour les impacts dévastateurs de la catastrophe climatique. Au cours des deux prochains jours, les dirigeants de plus de 160 pays devraient présenter leur vision pour lutter contre la crise climatique, notamment ceux du Brésil, du Royaume-Uni, de la France, de la Turquie et de l’Inde. Antonio Guterres a souligné que le succès de la conférence de Dubaï dépendra du résultat du « Bilan mondial » – au cours duquel les pays évalueront pour la première fois les progrès réalisés dans la lutte contre le réchauffement climatique – qui peut mettre le monde sur la bonne voie pour atteindre les objectifs fixés en matière de température, de financement et d’adaptation.

Les trois maux de la terre

« Ce bilan doit prescrire un remède crédible à notre planète malade dans trois domaines clés », a-t-il déclaré.  Premièrement, une réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre puisque les politiques actuelles nous conduisent à une augmentation de température de trois degrés. «  J’exhorte les pays à accélérer leur objectif de zéro émission nette, pour se rapprocher le plus possible de l’échéance de 2040 dans les pays développés et de celle de 2050 dans les économies émergentes », a-t-il précisé.

Alors qu’on apprenait le 18 octobre dernier que a société mère allemande GALERIA (Galeria Karstadt Kaufhof  – GKK) dont dépend notamment  la filiale belge INNO Belgique, décidait de se concentrer sur son marché principal et de lancer une procédure de vente de la chaîne emblématique de grands magasins belges INNO. La chaîne belge  des magasins INNO annonce ce 1er décembre ne pas être  affectée par les difficultés financières de Signa Holding, le groupe autrichien d'immobilier et de commerce de détail qui détient GALERIA. « Ce qui se passe chez Signa n'aura pas non plus d'effet sur la vente d'INNO ou sur la procédure qui s'y rapporte », explique INNO Belgique.

Alors que se tient en ce moment à Dubaï, la 28ème Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP28), Triodos entend rappeler l’importance du rendez-vous, malgré les discussions au sujet des intérêts qu’ont le pays organisateur et la présidence en matière d’énergies fossiles. Actuellement, le monde est sur la voie d’un réchauffement global de 2,5 à 2,9°C, selon le rapport 2023 du PNUE (Programme des Nations Unies pour l’environnement) sur les écarts d’émissions. Il est donc clair que le monde n’est pas sur la bonne voie pour atteindre les objectifs de l’accord. « Mais la question cruciale des semaines à venir est de savoir comment nous pouvons accélérer l’action climatique », s’interroge Thomas Van Craen, Directeur de la Banque Triodos Belgique. ​ En plus d’établir le bilan actuel de l’Accord de Paris, signé en 2021, d’autres tâches essentielles attendent les négociateurs de la COP28, à Dubaï, notamment la mise en place du fonds pour les pertes et dommages (créé lors de la COP27) afin d’aider les pays les plus durement touchés à reconstruire leurs communautés et à restaurer les écosystèmes, ainsi que l’adoption d’un cadre pour l’objectif global de l’Accord de Paris en matière d’adaptation. La banque Triodos appelle les gouvernements à soutenir un traité international juridiquement contraignant sur la non-prolifération des combustibles fossiles.  « La transition énergétique et la transformation des systèmes alimentaires figurent parmi les questions qui retiendront probablement beaucoup d’attention et qui pourraient se refléter dans plusieurs volets de négociation », explique Thomas Van Craen, Directeur de la Banque Triodos Belgique. ​« Comme c’est souvent le cas, les discussions et les négociations sur la manière de financer la transition climatique sont susceptibles d’occuper le devant de la scène. »

LIEGE. Voilà une exposition singulière et ludique qui animera de belle façon les vacances de Noël, dès le 15 décembre, Europa Expo et MB Presents  proposeront, en coproduction, une expérience interactive détonante mettant en scène la célèbre brique colorée à travers les œuvres artistiques du brick artist, Dirk Denoyelle. Emerveillement et magie seront au rendez-vous de cette immersion dans l'univers captivant des briques colorées LEGO®. Europa Expo, désormais aux mains du Liégeois Stephan Uhoda, et MB Presents ont choisi de proposer en gare de Liège-Guillemins,  une exposition familiale et intergénérationelle pour la période des fêtes. « A World of Bricks » offrira aux visiteurs un parcours à travers lequel l'artiste de renom, Dirk Denoyelle, présentera une collection de pièces uniques exclusivement réalisées avec des briques LEGO®.

On estime qu’en 2022, 249 millions de cas de paludisme ont été recensés dans le monde, soit 16 millions de plus que les 233 millions enregistrés avant la pandémie, en 2019. Outre les perturbations causées par le Covid-19, la riposte mondiale au paludisme s’est heurtée à un nombre croissant de menaces, comme la résistance aux médicaments et aux insecticides, les crises humanitaires, le manque de moyens, les répercussions du changement climatique et les retards pris dans la mise en œuvre des programmes, en particulier dans les pays où la charge de morbidité est élevée. C’est ce qu’il ressort du rapport annuel de l’OMS sur le paludisme, publié hier, et qui met en évidence la menace  croissante que fait peser le changement climatique Selon ce dernier rapport publié par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), malgré les avancées réalisées pour élargir l’accès aux moustiquaires imprégnées d’insecticide et aux médicaments destinés à prévenir le paludisme chez les jeunes enfants et les femmes enceintes, de plus en plus de personnes souffrent du paludisme dans le monde.
L’évolution des températures, de l’humidité et des précipitations peuvent avoir une influence sur le comportement et la survie du moustique anophèle vecteur du paludisme.
L’action de l’OMS sur le paludisme est guidée par la Stratégie technique mondiale de lutte contre le paludisme 2016-2030, approuvée par l’Assemblée mondiale de la Santé en mai 2015 et mise à jour en 2021. Elle prévoyait, entre autres objectifs, une réduction de l’incidence des cas de paludisme et des taux de mortalité d’au moins 75 % à l’horizon 2025 et de 90 % pour 2030, par rapport à 2015, année de référence.

Selon UNIA, le logement est en tête des domaines où des faits de discrimination sont constatés. Si l'on regarde de plus près les dossiers logement, on observe que près de la moitié relèvent du critère de l'état de fortune (42,7 %). Viennent ensuite les critères dits « raciaux » (27,2 %) et le critère du handicap (13,9 %). Parallèlement à cela, selon une étude des équipes de recherche (UCLouvain CIRTES et LUCAS KU Leuven) soutenue par la Fondation Roi Baudouin, on comptabilisait l’an dernier en Belgique, 23 257 personnes sans abri parmi lesquelles 4 394 sont des enfants.  L’accès au logement est droit et non un luxe. A cette fin d’ailleurs, l’ASBL liégeoise Benoit& Michel lance ce vendredi 1er décembre une quinzaine de sensibilisation en faveur des sans chez soi. Trop souvent encore à l’heure actuelle, des candidats locataires se voient refusés sur base de critères tels que leur âge, leur couleur de peau ou leur orientation sexuelle. Parmi les mesures prévues pour lutter contre ces discriminations, les contrôles-mystère entreront en vigueur au 1er janvier prochain. Le propriétaire d'un logement conservera notamment le droit de choisir son locataire.
La sanction peut aller de la réprimande au paiement d'une amende d'un montant de 125 € jusqu'à 6 200 € en cas de récidive.