Le Tribunal correctionnel de Paris vient de prononcer des peines de prison et une amende à l’encontre d’un ex-avocat de djihadistes, Bruno V., et de deux journalistes, auteures d’un livre d’enquête sur les femmes françaises ayant rallié l’Etat islamique. Collaboratrice de « La Libre », Céline Martelet (44 ans) et une consœur, Edith Bouvier (43 ans), ont été condamnées respectivement à 12 mois et à 10 mois de prison avec sursis pour avoir envoyé de l’argent à des djihadistes en Irak. Devant le tribunal, elles ont reconnu qu’elles étaient sorties de leur rôle, mais se défendent d’avoir commis un crime et  dénoncent une décision sévère. Elles ont décidé de faire appel de leur condamnation. En attendant, « La Libre » a suspendu sa collaboration avec Céline Martelet vu la gravité du jugement, mais le rédacteur en chef du quotidien salue « la qualité » des articles de la journaliste. Le dossier suscite un certain malaise dans la profession en France.

Trois assemblées générales se dérouleront ce mercredi 27 mars au terme desquelles l’intercommunale de réseau de distribution d’énergie (GRD), Resa coupera tous liens avec Enodia. L’ancienne filiale de Nethys sera désormais chapeautée par Resa Holding, lequel va développer des activités non régulées via une nouvelle filiale, baptisée provisoirement, Trans Energie. Cette dernière aura pour activité de développer des projets de transition énergétique. Un premier projet est d’ailleurs en cours de développement. Il est baptisé E-wall et consiste en la construction d’une batterie de stockage d’électricité sur un site à Tihange. Elle affichera une puissance de 50 mégawatts (MW). Le projet représente un investissement d’environ 50 millions d’euros et est porté par trois actionnaires : Trans Energie, Ores (l’autre GRD wallon) et Socofe. Ce mercredi 27 mars, le Gestionnaire de réseau de distribution (GRD) d’énergie, Resa passera une étape importante dans son évolution. L’intercommunale sera définitivement détachée d’Enodia, sa maison-mère. Pour ce faire, trois assemblées générales (AG) sont programmées ce mercredi : l’une d’Enodia qui votera la scission partielle pour couper tous les liens avec le GRD Resa, une autre de la nouvelle structure Resa Holding qui fera du GRD Resa sa filiale et une AG de cette dernière pour parfaire les deux dernières opérations. Les statuts des différentes structures seront aussi adaptés pour refléter les nouvelles réalités.

Dans le cadre de l’appel à projets concernant les tiers-lieux, une asbl a bénéficié d’un important subside, alors que sa création est postérieure à la date de clôture des dépôts de candidatures. L’asbl Agricotiers a été créée le 12 décembre 2022, quelques jours seulement avant la décision d’attribution des aides publiques. Par ailleurs, les projets devaient être déposés pour le 25 octobre au plus tard. Mais elle a pourtant décroché un subside de près de 500.000 euros. Contacté par nos soins, le cabinet de la ministre wallonne de la Ruralité, Céline Tellier (Ecolo) indique que le dossier de l’asbl Agricotiers fait partie des cas particuliers qui ont été signalés à l’administration. Non satisfait par les réponses de Céline Tellier lors d’une séance au Parlement wallon, le député wallon, Nicolas Tzanetatos (MR) a introduit une question écrite pour disposer de tous les éléments du dossier des tiers-lieux pour s’assurer que les règles de conflit d’intérêt ont été respectées. Car il s’avère que Renaud Baiwir, aujourd’hui directeur de la direction du développement rural au SPW (administration wallonne) fut responsable de la cellule Environnement au cabinet de la ministre Tellier et qu’il a été administrateur bénévole de la coopérative Agricovert, fondatrice de l’asbl Agricotiers. Il fait partie du jury ayant analysé les projets, mais il n’aurait pas participé à l’examen des projets portés par les deux associations. Mais le dossier jette une ombre de suspicion sur le déroulement de la procédure. Après la polémique sur la contamination au PFAS dans le Hainaut qui l’a bousculée, la ministre wallonne de l’Environnement et de la Ruralité, Céline Tellier (Ecolo) risque-t-elle de voir sa campagne électorale et sa fin de législature polluées par l’affaire des tiers-lieux ? Après des révélations sur ce dossier par un compte anonyme sur X (ex-Twitter, TonPèreLaTurlutte) et relayées par nos confrères de la DH, un dossier connaît un nouveau rebondissement. En effet, il apparaît aujourd’hui que l’asbl Agricotiers (Gembloux) a rentré son projet hors délai, mais il a été retenu pour bénéficier d’un subside de près d’un demi-million d’euros (499.700 euros). En effet, l’appel pour l’introduction des projets avait fixé les délais entre le 20 juillet 2022 et le 25 octobre 2022, avec une décision d’octroi des subsides prise le 21 décembre 2022.

Tête de liste du parti nationaliste flamand dans le Brabant wallon pour les élections fédérales du 9 juin, Drieu Godefridi n’est pas tendre avec le président du MR, Georges-Louis Bouchez. Il le rend responsable de la formation du gouvernement fédéral, la Vivaldi, associant du côté francophone, le MR, le PS et Ecolo. Il estime que le Vlaams Belang et le PTB sont deux partis qui profitent du système politique sans prendre leurs responsabilités. Drieu Godefridi assure partager totalement tous les points du programme de la N-VA, portant sur le confédéralisme et des questions liées à l’équilibre budgétaire, le moratoire sur l’immigration et l’énergie. Mais sur la question du séparatisme et l’indépendance de la Flandre, il reconnaît que le point fait partie des statuts du parti nationaliste, mais il ne partage pas ce point, car dit-il, cet objectif n’est pas réaliste et il ferait du tort à l’économie flamande. « Le séparatisme n’est pas vraiment à l’ordre du jour. En plus ce n’est pas tenable en Belgique. Si on sort la Flandre de la Belgique, on la sort de l’Union européenne, on la sort de l’euro, et il n’y a plus d’économie en Flandre. La Flandre est l’une des économies les plus ouvertes au monde. Les Flamands sont trop malins pour ne pas comprendre que ce n’est vraiment pas à l’ordre du jour », assure-t-il. Il soutient que l’objectif de la N-VA est de mettre le PS dans l’opposition, d’abord au niveau fédéral, puis en Wallonie. Il accuse les médias qui le boycottent de lui faire subir un règlement de comptes. Une semaine après son intronisation par la N-VA comme première tête de liste du parti nationaliste en Wallonie pour les élections fédérales du 9 juin, Drieu Godefridi nous a accordé sa première grande interview. Il inaugure une série politique qui donnera, chaque semaine, la parole aux candidats qui se présentent pour la première fois aux différents scrutins. Vous rentrez dans l’arène politique par la grande porte en étant la tête de liste de la N-VA pour les élections fédérales du 9 juin. Partagez-vous toutes les revendications du parti nationaliste flamand ? Je partage les principales idées de la N-VA sur le confédéralisme, l’équilibre budgétaire, l’énergie, moratoire sur l’asile. Je suis vraiment en accord à 100% sur ces sujets. Le confédéralisme de la N-VA est une première étape pour arriver au séparatisme et à l’indépendance de la Flandre. Etes-vous d’accord avec cette option ? Non, je ne partage pas cette idée. Ce point figure dans les statuts, mais pas dans le programme du parti. A la N-VA, ils sont trop réalistes que pour ne pas comprendre que le séparatisme n’est vraiment pas à l’ordre du jour. Tellement d’ailleurs que le président Bart De Wever fait de la revendication séparatiste du Vlaams Belang un des éléments de différence avec la N-VA. Je crois qu’il a raison. Le séparatisme n’est pas tenable en Belgique. Si on sort la Flandre de la Belgique, on la sort de l’Union européenne, on la sort de l’euro aussi. Dans ces circonstances, il n’y a plus d’économie en Flandre. La Flandre est l’une des économies les plus ouvertes au monde. Ils sont donc trop malins pour ne pas comprendre que ce n’est vraiment pas à l’ordre du jour. En revanche, le confédéralisme, j’y crois à 100%, il apparaît dès les premières pages, mais pas le séparatisme. J’avais fait une interview dans le Standaard en 2018 où je plaidais le confédéralisme, donc mon adhésion à la N-VA n’est pas de l’opportunisme. On ne peut pas me soupçonner d’être opportuniste dans cette affaire. En faisant ça, j’en prends plein la tête. Mais on le savait à l’avance. Si vous voulez, je fais ça parce que j’y crois vraiment.
Je trouve que le cordon sanitaire a un côté injurieux et infantilisant pour les Wallons.

Magistrats et avocats ont organisé des rassemblements devant les plusieurs palais de justice du pays mercredi 20 mars pour dénoncer la situation dans laquelle se trouve la justice. Ils dénoncent la surcharge de travail à cause de l’insuffisance des effectifs, le retard dans la numérisation des infrastructures et des procédures et l’attitude de l’Etat qui ne respecte pas les décisions de justice. Une étude du consultant Capgemini sur la charge de travail des magistrats indique qu’il faudrait en plus 682 magistrats pour garantir une bonne justice au profit du citoyen. Les magistrats demandent d’être affranchis de la tutelle du politique en confiant le contrôle de leurs ressources financières au Parlement et à la Cour des comptes. Pour garantir une justice accessible à tous, ils plaident pour une TVA réduite sur les honoraires des professionnels (avocats, huissiers, notaires) et la réduction des frais de procédure. Découvrez la liste des revendications portées par l’Union professionnelle de la magistrature (UPM) et l’Association syndicale des magistrats (ASM). La justice va mal et la situation ne semble pas s’améliorer. A l’instar de la mobilisation organisée à la même date en 2019, année électorale, pour plaider leur cause, les magistrats ont réitéré l’opération en organisant un rassemblement devant plusieurs palais de justice du pays le mercredi 20 mars 2024. Pour l’occasion, les avocats et les citoyens ont été invités à s’associer à l’opération, car tout le monde est concerné. Sous le slogan « l’Etat de droit, j’y crois », les responsables des syndicats de magistrats ont décliné leurs revendications. « Lors des précédentes élections, il y a cinq ans, nous évoquions 6 revendications fondamentales ; cette année, nous devons malheureusement les reprendre : certaines d’entre elles ont été partiellement, mais insuffisamment, entendues. D’autres, totalement ignorées. Une septième, malheureusement, a dû être ajoutée », a précisé, dans son discours du 20 mars, Isabelle Collard, juge au tribunal de première instance de Liège, division Liège et vice-présidente de l’Union professionnelle de la magistrature (UPM).

Selon nos informations, une société de trading de produits sidérurgiques a marqué son intérêt pour les outils liégeois de Liberty Steel désormais à l’arrêt depuis plusieurs mois. Il a demandé à voir le dossier. Il est question d’une reprise de la ligne de galvanisation 5 (basée à Flémalle) et d’une partie des outils de Tilleur, à savoir le fer blanc. Une offre aurait été transmise aux dirigeants de Liberty qui seraient en train de l’analyser. Si le projet de reprise par le vendeur d’acier italien abouti, il pourrait permettre de sauver au moins 250 emplois sur environ 520 emplois que compte l’entreprise. Les travailleurs sont en chômage économique jusqu’en juin 2024. Interpellé sur la situation de l’entreprise au Parlement wallon, le ministre de l’Economie, Willy Borsus (MR) semble avoir fait le deuil d’une reprise des activités sous la houlette de Liberty Steel précisant que les dirigeants de Gupta Family Group (GFG) Alliance, la maison-mère de Liberty Steel ont été en défaut de présenter différents éléments demandés ou des garanties pouvant susciter l’engagement de la Région wallonne à les aider. Le vice-Président wallon confirme des contacts en cours notamment avec les anciens repreneurs.

Selon nos informations, la Cour d’appel de Bruxelles vient de rendre sa décision dans le dossier concernant les difficultés de la plateforme belge d’échanges de cryptomonnaies, Bit4You. Elle a suivi les demandes des avocats des actionnaires et des déposants en estimant notamment qu’il n’y avait pas lieu de citer la société en faillite. La Cour d’appel prolonge la mission du collège actuel composé de deux administrateurs provisoires jusqu’au 30 avril 2024 et refixe la cause devant elle le 25 avril pour examiner s’il y a lieu de proroger le travail des administrateurs provisoires ou de procéder à leur éventuel remplacement. Concrètement, Bit4You va pouvoir récupérer les Bitcoins bloqués actuellement et les revendre pour pouvoir rembourser les créanciers et les déposants. A combien s’élèvent les remboursements ? Qu’en pensent les actionnaires de Bit4You ?
Si Bit4You rencontre des difficultés évidentes à faire face à son passif exigible, aucun de ses créanciers ne lui a actuellement retiré sa confiance.
Bonne nouvelle pour les actionnaires de Bit4You et les déposants de la plateforme d’échanges de cryptomonnaies. Selon nos informations, la Cour d’appel de Bruxelles a rendu sa décision dans le dossier après les plaidoiries qui se sont déroulées, il y a exactement une semaine (https://lpost.be/2024/03/15/cryptomonnaies-un-des-administrateurs-provisoires-de-bit4you-epingle-pour-un-conflit-dinteret/).

Selon nos informations, le Gouvernement wallon s’apprête à prendre un arrêté octroyant une nouvelle subvention de près de 3 millions d’euros à la SNCB pour permettre à l’entreprise ferroviaire de financer les frais inhérents à l’ajout d’un quai supplémentaire dans la nouvelle gare multimodale de Mons. La décision ne vaut que pour l’année 2024, mais un autre paiement de plus de 2 millions d’euros pourrait intervenir en 2025. Une convention signée en 2010 prévoyait une participation de la Région wallonne à la construction de la nouvelle gare de Mons pour un montant forfaitaire de 40,5 millions d’euros (charges d’intérêts comprises). La nouvelle subvention risque de relancer la polémique sur les coûts de construction de la gare qui est passé de 37 millions d’euros à près de 350 millions d’euros. Sans compter les irrégularités relevées par la Cour des comptes : marchés publics douteux, opacité organisée, absence de suivis budgets, favoritisme dans le choix de l’architecte Calatrava, etc. L’inauguration du futur joyau est attendue pour cette année 2024… Du nouveau dans le dossier de la nouvelle gare intermodale de Mons dont l’inauguration est attendue depuis de longue date. Selon nos informations, le Gouvernement wallon s’apprête à accorder une nouvelle subvention à la SNCB pour financer les frais inhérents à l’ajout d’un quai supplémentaire suite à une demande du ministre wallon de la Mobilité, Philippe Henry (Ecolo). Le montant de la nouvelle rallonge s’élève à près de 3 millions d’euros. Le point pourrait passer ce jeudi 21 mars lors de la réunion hebdomadaire de l’exécutif régional.
La Cour des comptes relève que les données budgétaires n’ont pas toujours permis un contrôle fiable de l’évolution des coûts de la modernisation de la gare de Mons.

Le fonds d’investissement public, Wallonie Entreprendre (WE), a dégagé un budget total de 100 millions d’euros pour aider près de 400 entreprises dans leurs projets de transition énergétique, grâce au soutien de la Région wallonne. Pour 2024, il devrait dépasser ce montant puisqu’à ce jour, il a déjà consacré 62 millions d’euros à des entreprises pour leurs projets de transition énergétique. L’aide apportée aux entreprises peut prendre différentes formes, notamment l’accompagnement ou le financement pour la concrétisation de leurs projets. L’entreprise industrielle, Dcoup Laser, spécialisée dans la découpe de tubes ou de profilés en acier, l’usinage, le cintrage et la soudure de pièces sidérurgiques est l’illustration d’une PME préoccupée par les défis énergétiques et le recours à l’énergie renouvelable. En 10 ans, elle a réalisé 25 millions d’euros d’investissements pour améliorer sa consommation d’énergie et trouver des solutions pour produire de l’électricité verte. Elle a bénéficié de l’aide de Wallonie Entreprendre pour concrétiser ses différents projets. A l’instar des grandes entreprises qui investissent des montants importants dans la décarbonation de leurs activités de production, l’entreprise Dcoup Laser, basée à Florennes, est présentée comme l’exemple illustrant la préoccupation des PME aussi pour la transition énergétique. Spécialisée dans la découpe de tubes ou de profilés en acier, l’usinage, le cintrage et la soudure de pièces sidérurgiques, elle a concrétisé plusieurs projets qui lui ont permis tant de réduire sa consommation d’électricité que d’en produire à partir de source renouvelable.
Au total, en 10 ans, nous avons investi 25 millions d’euros dans les différents projets grâce au soutien de Novallia et à Wallonie Entreprendre.
Dcoup Laser, une entreprise bénéficiaire C’est ainsi qu’elle a recouvert le toit de ses ateliers de panneaux photovoltaïques et investi dans de nouvelles machines de découpage au laser moins consommatrices d’électricité, mais plus performantes. L’usine est éclairée au led ; elle est aussi équipée de détecteurs de mouvement garantissant l’allumage des lampes uniquement en cas de présence humaine et l’intensité de la lumière à l’intérieur de l’usine se règle en fonction de la luminosité extérieure des bâtiments. Par ailleurs, le chauffage est alimenté par une pompe à chaleur. L’eau chaude est fournie par un boiler thermodynamique. Les dirigeants ont aussi investi dans des batteries permettant le stockage d’énergie. Sans oublier des travaux d’isolation efficace des bâtiments.

Entrée en soins palliatifs, la société Mithra Pharmaceuticals est au plus mal et son action peine à décoller en bourse où sa valorisation est tombée à moins de 13 millions d’euros. Les dirigeants et le conseil d’administration travaillent d’arrache-pied pour sauver l’entreprise et ses quelque 235 emplois. Selon nos informations, plus de 5 candidats repreneurs frappent à la porte dont le cofondateur, François Fornieri. Mais son président et cofondateur, Jean-Michel Foidart assure qu’il ne bénéficie pas d’un traitement de faveur et qu’il devra suivre la procédure mise en place avec l’aide de banques d’affaires et de bureaux d’avocats afin de garantir une totale objectivité dans la valorisation des actifs de l’ex-pépite de la biopharma wallonne. En attendant, pour limiter les dépenses, les dirigeants viennent d’annoncer la mise en chômage économique partiel ou complet de la quasi-totalité des travailleurs de Mithra renforçant l’inquiétude du personnel. Un conseil d’entreprise extraordinaire est prévu ce mardi après-midi 19 mars à l’usine de CDMO à Flémalle. Par ailleurs, il nous revient que la responsable juridique de l’entreprise aurait démissionné. Malgré une petite embellie observée hier à la bourse de Bruxelles où l’action a gagné près de 3% pour afficher un titre à 0,21 euro lundi 18 mars, Mithra est loin d’être sortie des soins palliatifs où l’entreprise biopharma est entrée depuis plusieurs semaines maintenant (https://lpost.be/2024/03/09/la-chute-de-la-biopharma-mithra-semble-difficile-a-arreter/). Pour tenter de la sauver, le conseil d’administration et les dirigeants déploient toute une série d’efforts pour éviter  l’ex-pépite du secteur biopharma wallon d’être déclarée en faillite. Désormais, la seule planche de salut est l’arrivée d’un repreneur pour l’ensemble des activités ou une vente par appartements des bijoux de la PME wallonne.