Selon nos informations, la ministre des Médias, Jacqueline Galant (MR) ne voit plus d’objection à ce que la RTBF participe via sa régie publicitaire RMB, au sauvetage de la chaîne d’infos privée LN24. Après avoir obtenu des précisions sur le dossier, elle s’est assurée que les moyens qui seront injectés dans le capital de LN24 ne proviendront pas de la dotation publique de la RTBF, mais des « revenus privés de la filiale RMB ». Elle veut ainsi éviter que les moyens dévolus à la chaîne publique ne soient « pas dispersés ». La position de la ministre Galant enlève un obstacle sur la voie de la relance de la chaîne d’infos privée, actuellement propriété à 68% du groupe IPM, éditeur de plusieurs journaux (La Libre, La DH, L’Avenir, Moustique, etc.). L’opération intègre la société SMS, une filiale de RMB, spécialisée dans la publicité sportive et co-détenue par Zelos, l’entreprise de marketing, basée à Mont-Saint-Guibert, de Freddy Tacheny, ancien directeur de la régie publicitaire de RTL Belgium. Du nouveau dans le projet de sauvetage de la chaîne d’infos privée, LN24, actuellement détenue à 68% par le groupe de presse, IPM, éditeur de plusieurs journaux (La Libre, La DH, L’Avenir, Moustique, etc.). Selon nos informations, la ministre des Médias du Gouvernement de la Communauté française (Fédération Wallonie-Bruxelles), Jacqueline Galant (MR) qui avait un temps marqué une certaine réticence face à la participation de la chaîne publique, RTBF, à l’opération a revu sa position.
Les moyens investis proviendront uniquement des revenus "privés" de la filiale de RMB, elle-même filiale de la RTBF.

Selon nos informations, les sociétés de leasing Arval et ALD ont décidé d’arrêter les contrats qui les lient Liberty Liège Dudelange en raison des factures impayées. Elles ont donc demandé à récupérer au plus vite les voitures dont bénéficient certains cadres du groupe sidérurgique à Liège. Cela fait d’ailleurs plusieurs semaines que des travailleurs ne peuvent plus rouler avec certains véhicules à cause d’un défaut d’assurance. Il nous revient par ailleurs que Sanjeev Gupta, le fondateur de Gupta family Group (GFG) Alliance, la maison-mère de Liberty Steel group a envoyé en décembre 2024 ses vœux aux travailleurs suscitant incompréhension et colère au sein des équipes. Il reconnaît que le personnel a traversé une période difficile, mais il entrevoit encore un avenir pour les activités du groupe. Or, les outils liégeois sont à l’arrêt depuis près de 2 ans et que le groupe cumule les arriérés de salaires. La situation a d’ailleurs obligé les travailleurs à vendre un stock d’étain pour combler les retards de paiement. Après avoir vécu une année 2024 éprouvante, les travailleurs de Liberty Liège entame 2025 sans grand changement pour leur situation et avec la même incertitude sur l’avenir des usines. La situation semble même se dégrader. Leasing en rade et défaut d’assurance Selon nos informations, la direction a récemment informé les travailleurs, principalement les cadres et les employés, qu’ils vont devoir se passer des véhicules de fonction que l’entreprise a mis à leur disposition.
En raison des retards importants dans les paiements de nos factures, les sociétés de leasing, Arval et ALD, ont décidé de mettre fin aux contrats qui nous lient à elles.

Il y a 80 ans, le 27 janvier 1945, le troupes soviétiques libéraient le camp de concentration et centre de mise à mort d’Auschwitz-Birkenau de l’Allemagne nazie durant la seconde Guerre mondiale. Ce jour-là, on découvrait l’horreur dans ce camp, tristement connu comme le plus...

La nouvelle polémique en France sur le cas de l’écrivain franco-algérien, Boualem Sansal (75 ans), retenu dans les geôles algériennes depuis le 21 novembre 2024, faussement accusé d’« atteinte à l’intégrité du territoire national », rebondit en Belgique. En effet, le 23 janvier 2025, lors du vote...

Selon nos informations, la compagnie aérienne belge a informé ses équipes de sa décision de reprendre les liaisons avec Tel-Aviv dès le 1er février 2025. Ce faisant, les dirigeants de Brussels Airlines se conforment à la décision prise par Lufthansa, la maison-mère de relancer les vols vers l’aéroport israélien début février prochain. Brussels Airlines et les autres compagnies aériennes du groupe allemand avaient suspendu les opérations vers Tel-Aviv depuis août 2024 en raison de la situation sécuritaire liée au conflit israélo-palestinien. La direction de la compagnie aérienne reconnaît que Tel-Aviv est toujours considéré comme une zone de guerre malgré l’accord de cessez-le-feu, par conséquent, elle rappelle au personnel que la participation à ces vols sera volontaire et prévoit des incitations pour motiver les candidats. La décision de la direction de reprendre les vols vers Tel-Aviv n’est pas du goût des syndicats, notamment de la CNE, qui rappellent que Tel-Aviv reste classé comme une zone à haut risque et dénoncent l’absence de concertation.

La Loterie nationale a dévoilé ce jeudi 23 janvier 2025 les résultats de ses activités en 2024 avec un chiffre d’affaires de 1,55 milliard d’euros, en croissance de 4,2% par rapport à 2023. Elle s’apprête à verser à l’Etat une rente de 145 millions d’euros. Il s’agit de la rente de monopole classique de 135 millions d’euros augmentée d’une contribution de 10 millions d’euros pour participer à l’effort budgétaire lié à la crise du Covid-19. Mais celle-ci doit s’éteindre à l’issue de l’exercice de 2024, puisqu’il avait été convenu de verser la contribution pendant 3 ans (2022-2024). Les dirigeants attendent la négociation du prochain contrat de gestion pour connaître le montant de la rente que l’Etat va leur demander. En 2024, la Loterie nationale a soutenu 1.884 projets pour un montant de près de 345 millions d’euros. Son CEO, Jannie Haek, s’est réjoui des bons résultats de son entreprise, mais il a lancé un appel pour davantage de transparence concernant l'utilisation des données. Pour son 90ème anniversaire, la Loterie nationale a réalisé une pièce commémorative de 2 euros en un million d’exemplaires dont 155.000 spécialement travaillées pour les collectionneurs. C’est dans la grande salle du cirque royal que la Loterie nationale a donné rendez-vous aux journalistes pour présenter le bilan de son activité en 2024. Le lieu n’est pas choisi par hasard, car il illustre un retour aux sources : c’est ici que la Loterie nationale avait inauguré son premier tirage en grande pompe le 18 octobre 1934. Nonante ans plus tard, c’est une dame d’un certain âge à la santé financière flamboyante qui revient sur le lieu où tout a commencé pour elle.

Selon les statistiques que nous avons obtenues auprès du Forem, près de millions de titres-services ont été achetés en 2024 par les Wallons, en baisse de plus de 11% par rapport à 2023 (29 millions de titres-services achetés). Le Forem explique cette baisse par un « effet écureuil » important en décembre 2023 avant une augmentation du prix du titre-service 10 euros en janvier 2024. Le nombre de travailleurs ayant presté au moins un titre-service est évalué à près de 46.000 personnes. Les 100 premiers titres-services sont déductibles fiscalement à hauteur de 10% et la valeur de la subvention pour une heure de prestation est de 19,36 euros. Le montant remboursé aux entreprises agrées est significatif : plus de 846 millions d’euros en 2024. A Bruxelles, les statistiques indiquent une augmentation des titres-services achetés de 7% en 2024 par rapport à 2023, alors que le nombre des TS utilisés est baisse. Dans la capitale, le système permet de sortir près de 27.000 travailleurs du travail au noir, principalement des femmes d’origine étrangères, âgées de plus de 40 ans. L’année 2024 est terminée et c’est l’heure des bilans pour l’utilisation des titres-services (TS). D’après les statistiques que le Forem nous a fournies, les Wallons ont acheté moins de TS l’an dernier : près de 28 TS ont été achetés en 2024 (27.957.878 titres-services) en 2024, en baisse d’environ 11,21% par rapport à 2023 (31.486.506 TS).

Selon nos informations, la chambre des mises en accusation de Liège a jugé ce lundi 20 janvier 2025 que la plainte au pénal contre la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen est irrecevable. Elle avait été déposée par le Belge Frédéric Baldan qui demandait que la transparence soit faite sur les négociations menées (par SMS) par la présidente de l’exécutif européen avec le patron de Pfizer, Albert Bourla pour l’achat de 1,8 milliard de vaccins anti-Covid pour un montant de 35 milliards de dollars. Pour la juge, Frédéric Baldan n’avait pas d’intérêt à agir et qu’il a introduit sa plainte à Liège. L’irrecevabilité qui frappe la plainte du citoyen belge entraîne aussi celle de plusieurs centaines de plaignants, car elles seraient faites en intervention à la plainte de Frédéric Baldan. Contacté par nos soins, l’avocat de la Hongrie, Me Denis Philippe n’exclut pas un pourvoi en cassation ou le dépôt d’une nouvelle plainte à Bruxelles. En déclarant les plaintes irrecevables, les autres aspects du dossier à trancher tombent également. Première victoire pour la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, dans le dossier de la plainte au pénal introduite par le Belge Frédéric Baldan. Selon nos informations, la chambre des mises en accusation de Liège a bien rendu son arrêt ce lundi 20 janvier 2025.

Jour J ce lundi 20 janvier 2025 pour les acteurs du dossier judiciaire relatif aux contrats de vente de vaccins anti-Covid négociés par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, avec le patron de la firme pharmaceutique américain, Pfizer. La chambre des mises en accusation rendra aujourd’hui un arrêt sur quatre points cruciaux : l’immunité de la présidente de l’exécutif européen, l’intérêt à agir des plaignants, la compétence territoriale de Liège et la compétence du parquet européen (EPPO). Le Belge Frédéric Baldan, à l’origine de la plainte au pénal initiale contre Ursula von der Leyen et le patron de Pfizer, Albert Bourla, n’exclut pas de lancer une citation directe contre les deux responsables pour éviter un enterrement de première classe du dossier. Il faut dire qu’en face, les avocats de la partie adverse invoquent l’idée que Frédéric Baldan n’a aucun intérêt à agir. Par ailleurs, ils soutiennent que son action et celle des autres plaignants sont une plainte collective qui n’a pas de base légale. De son côté, le parquet européen défend sa compétence à traiter le dossier, mais indiquerait déjà n’avoir identifié aucun suspect… Quelques joures après l’audience du 6 janvier 2025 consacrés à plusieurs points du dossier du Pfizergate ou Ursulagate, la Chambre des mises en accusation rendra son arrêt ce lundi 20 janvier. La décision est attendue avec impatience par les différentes parties, car elle déterminera la suite de la procédure. Elle pourrait offrir une porte de sortie pour la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Ce 20 janvier 2025 ne sera pas seulement important parce que c’est le jour d’investiture du 47ème président des USA, Donald Trump.